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Feuilleton et Feuilleton des préavis

No. 147

Le mardi 17 octobre 2017
14 heures

Ordre du jour | Feuilleton des préavis | Questions écrites


Le Feuilleton et Feuilleton des préavis guide les délibérations du Sénat et dresse la liste des questions à l'étude. Ces dernières sont classées par catégorie et suivant la priorité établie conformément aux dispositions adoptées par le Sénat, tel que le prévoit le Règlement. L'ordre du jour, présenté après les affaires courantes, regroupe la majorité des questions. Elles sont divisées en deux grandes catégories, soit les affaires émanant du gouvernement et les autres affaires. Les projets de loi, les motions, les interpellations et les rapports de comités font partie de ces deux catégories.

Le texte des motions et des interpellations qui n'ont pas encore été mises à l'étude figure au Feuilleton des préavis.

Le Feuilleton et Feuilleton des préavis est préparé quotidiennement avant chaque séance.


Ordre des travaux

(Voici un aperçu d'une séance typique du Sénat. Des variantes sont possibles, sous réserve de l'application du Règlement et des décisions du Sénat.)

Déclarations de sénateurs (15 minutes)

AFFAIRES COURANTES (30 minutes)

1. Dépôt de documents

2. Présentation ou dépôt de rapports de comités

3. Préavis de motions du gouvernement

4. Préavis d'interpellations du gouvernement

5. Dépôt et première lecture de projets de loi du gouvernement

6. Dépôt et première lecture de projets de loi d'intérêt public du Sénat

7. Première lecture de projets de loi d'intérêt public des Communes

8. Lecture de pétitions pour des projets de loi d'intérêt privé

9. Dépôt et première lecture de projets de loi d'intérêt privé

10. Dépôt de rapports de délégations interparlementaires

11. Préavis de motions

12. Préavis d'interpellations

13. Dépôt de pétitions

Période des questions (30 minutes)

Réponses différées

ORDRE DU JOUR

Affaires du gouvernement

Projets de loi — Messages de la Chambre des communes

Projets de loi — Troisième lecture

Projets de loi — Rapports de comités

Projets de loi — Deuxième lecture

Rapports de comités — Autres

Motions

Interpellations

Autres Affaires

Autres affaires

Projets de loi — Messages de la Chambre des communes

Projets de loi d'intérêt public du Sénat — Troisième lecture

Projets de loi d'intérêt public des Communes — Troisième lecture

Projets de loi d'intérêt privé — Troisième lecture

Projets de loi d'intérêt public du Sénat — Rapports de comités

Projets de loi d'intérêt public des Communes — Rapports de comités

Projets de loi d'intérêt privé — Rapports de comités

Projets de loi d'intérêt public du Sénat — Deuxième lecture

Projets de loi d'intérêt public des Communes — Deuxième lecture

Projets de loi d'intérêt privé — Deuxième lecture

Rapports de comités — Autres

Motions

Interpellations

Autres Affaires

FEUILLETON DES PRÉAVIS

Préavis de motions

Préavis d'interpellations


Ordre du jour

Affaires du gouvernement

Projets de loi – Messages de la Chambre des communes

No 1.

Le 21 juin 2017—Étude des amendements apportés par la Chambre des communes au projet de loi S-3, Loi modifiant la Loi sur les Indiens (élimination des iniquités fondées sur le sexe en matière d’inscription) :

1.Titre intégral, page 1 : Substituer le titre intégral par ce qui suit :

« Loi modifiant la Loi sur les Indiens pour donner suite à la décision de la Cour supérieure du Québec dans l’affaire Descheneaux c. Canada (Procureur général) »

2.Article 2, page 2 : Supprimer les lignes 5 à 16

3.Article 11, page 9 : Substituer la ligne 30 par ce qui suit :

« Charte canadienne des droits et libertés, de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et, si »


Projets de loi – Troisième lecture

Aucun


Projets de loi – Rapports de comités

Aucun


Projets de loi – Deuxième lecture

No 1.

Le 20 septembre 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Black, appuyée par l’honorable sénateur Mitchell, tendant à la deuxième lecture du projet de loi C-23, Loi relative au précontrôle de personnes et de biens au Canada et aux États-Unis.

No 2.

Le 19 septembre 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Wetston, appuyée par l’honorable sénateur Joyal, C.P., tendant à la deuxième lecture du projet de loi C-25, Loi modifiant la Loi canadienne sur les sociétés par actions, la Loi canadienne sur les coopératives, la Loi canadienne sur les organisations à but non lucratif et la Loi sur la concurrence.

No 3.

Le 21 septembre 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Cordy, appuyée par l’honorable sénateur Richards, tendant à la deuxième lecture du projet de loi C-36, Loi modifiant la Loi sur la statistique.


Rapports de comités – Autres

Aucun


Motions

No 1.

Le 8 décembre 2015—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Jaffer, appuyée par l’honorable sénatrice Cordy,

Que l’Adresse, dont le texte suit, soit présentée à Son Excellence le Gouverneur général du Canada :

À Son Excellence le très honorable David Johnston, Chancelier et Compagnon principal de l’Ordre du Canada, Chancelier et Commandeur de l’Ordre du mérite militaire, Chancelier et Commandeur de l’Ordre du mérite des corps policiers, Gouverneur général et Commandant en chef du Canada.

QU’IL PLAISE À VOTRE EXCELLENCE :

Nous, sujets très dévoués et fidèles de Sa Majesté, le Sénat du Canada, assemblé en Parlement, prions respectueusement Votre Excellence d’agréer nos humbles remerciements pour le gracieux discours qu’elle a adressé aux deux Chambres du Parlement.


Interpellations

No 2.

Par l’honorable sénateur Harder, C.P. :

Le 28 mars 2017—Qu’il attirera l’attention du Sénat sur le budget intitulé Bâtir une classe moyenne forte, déposé à la Chambre des communes le 22 mars 2017 par le ministre des Finances, l’honorable Bill Morneau, C.P., député, et au Sénat le 28 mars 2017.


Autres affaires

Aucune


Autres affaires

L'article 4-15(2) du Règlement stipule :

Sauf décision contraire du Sénat, sont supprimées les affaires, autres que celles du gouvernement, figurant au Feuilleton et les motions ou interpellations au Feuilleton des préavis qui n'ont pas été discutées depuis 15 jours de séance.

En conséquence, le numéro qui apparaît entre parenthèses indique le nombre de séances depuis que cet article a été discuté.

Projets de loi – Messages de la Chambre des communes

No 1.

Le 5 octobre 2017—Étude des modifications apportées par la Chambre des communes au projet de loi S-226, Loi prévoyant la prise de mesures restrictives contre les étrangers responsables de violations graves de droits de la personne reconnus à l’échelle internationale et apportant des modifications connexes à la Loi sur les mesures économiques spéciales et à la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés :

1.Article 2, page 3 :

a)remplacer  la ligne 17 par ce qui suit :

« 2 Les définitions qui suivent s’appliquent à la pré- »

b)ajouter, après la ligne 18, ce qui suit :

« agent public étranger S’entend au sens de l’article 2 de la Loi sur la corruption d’agents publics étrangers. ( foreign public official ) »

c)supprimer, dans la version française, les lignes 19 et 20;

d)remplacer, dans la version française, la ligne 34, par ce qui suit :

« étranger Individu autre : »

2.Article 2, page 4 :

a)supprimer, dans la version anglaise, les lignes 6 et 7;

b)supprimer les lignes 6 à 8.

3.Article 4, page 4 :

a)remplacer les lignes 11 à 13 par ce qui suit :

« 4 (1) S’il juge que s’est produit l’un ou l’autre des faits prévus au paragraphe (2), le gouverneur en conseil peut : »

b)remplacer les lignes 16 et 17 par ce qui suit :

« l’égard d’un étranger, des activités énumérées au paragraphe (3); »

c)remplacer la ligne 25 par ce qui suit :

« ternationale contre des personnes dans un État étran- »

d)remplacer la ligne 28 par ce qui suit :

« des agents publics étrangers, »

4.Article 4, page 5 :

a)remplacer les lignes 7 à 16 par ce qui suit :

« c) l’étranger qui est un agent public étranger ou une personne qui est associée à un tel agent est responsable ou complice d’avoir ordonné, supervisé ou dirigé d’une façon quelconque des actes de corruption — notamment le versement de pots-de-vin, le détournement de biens publics ou privés pour son propre bénéfice, le transfert de produits de la corruption à l’extérieur de l’État étranger ou tout acte de corruption en matière d’expropriation ou visant des marchés publics ou l’extraction de ressources naturelles — qui constituent, compte tenu notamment de leurs effets, de l’importance des sommes en jeu, du degré d’influence ou de la position d’autorité de l’étranger ou du fait que le gouvernement de l’État étranger en cause en est complice, des actes de corruption à grande échelle; »

b)remplacer les lignes 21 à 25 par ce qui suit :

« (3) Les activités qui peuvent être visées par le décret ou »

c)remplacer les lignes 40 et 41 par ce qui suit :

« services, notamment de services financiers, à l’étranger, pour le bénéfice de celui-ci ou en exécution d’une directive ou d’un ordre qu’il a donné;

d) l’acquisition par une personne se trouvant au Canada ou par un Canadien se trouvant à l’étranger de services, notamment de services financiers, pour le bénéfice de l’étranger ou en exécution d’une directive ou d’un ordre qu’il a donné;

e) le fait pour une personne se trouvant au Canada ou pour un Canadien se trouvant à l’étranger de rendre disponible des biens, où qu’ils soient, à l’étranger ou à une personne agissant pour son compte. »

d)ajouter, après la ligne 41, ce qui suit :

« (4) Le gouverneur en conseil peut, par décret, conférer au ministre le pouvoir :

a) de délivrer à une personne se trouvant au Canada ou à un Canadien se trouvant à l’étranger un permis l’autorisant à mener une opération ou une activité, ou une catégorie d’opérations ou d’activités, qui fait l’objet d’une interdiction ou d’une restriction au titre de la présente loi ou d’un décret ou règlement pris en vertu de celle-ci;

b) de délivrer un permis d’application générale autorisant toute personne se trouvant au Canada ou tout Canadien se trouvant à l’étranger à mener une opération ou une activité, ou une catégorie d’opérations ou d’activités, qui fait l’objet d’une interdiction ou d’une restriction au titre de la présente loi ou d’un décret ou règlement pris en vertu de celle-ci.

(5) Le ministre peut délivrer un permis ou un permis d’application générale sous réserve des modalités qu’il estime compatibles avec la présente loi et les décrets et règlements pris en vertu de celle-ci.

(6) Le ministre peut modifier, annuler, suspendre ou rétablir un permis visé au présent article. »

5.Article 5, pages 5 et 6 :

supprimer l’article 5.

6.Nouvel article 7.1, page 7 :

ajouter, après la ligne 9, le nouvel article suivant :

« Communication

7.1 (1) Les entités visées à l’article 7 sont tenues de communiquer, chaque mois, à l’autorité ou à l’organisme principal de surveillance ou de réglementation dont elles relèvent sous le régime d’une loi fédérale ou provinciale, le fait que des biens visés à cet article sont ou non en leur possession ou sous leur contrôle et, le cas échéant, de lui indiquer le nombre de personnes ou d’opérations en cause et la valeur totale des biens.

(2) Toute personne au Canada ou tout Canadien à l’étranger est tenu de communiquer, sans délai, au commissaire de la Gendarmerie royale du Canada ou au directeur du Service canadien du renseignement de sécurité :

a) le fait qu’il croit que des biens qui sont en sa possession ou sous son contrôle appartiennent à un étranger visé par un décret ou règlement pris en vertu de l’article 4 ou sont détenus ou contrôlés par cet étranger ou pour son compte, ou appartiennent à une personne pour le compte de l’étranger;

b) tout renseignement portant sur une opération, réelle ou projetée, mettant en cause des biens visés à l’alinéa a).

(3) Aucune poursuite en vertu de la présente loi ni aucune procédure civile ne peuvent être intentées contre une personne ayant communiqué de bonne foi des renseignements en application des paragraphes (1) ou (2). »

7.Article 8, page 7 :

remplacer les lignes 10 à 20, et  l’intertitre précédant l’article 8, par ce qui suit :

« Droits des étrangers visés par tout décret ou règlement

8 (1) L’étranger visé par un décret ou règlement pris en vertu de l’article 4 peut demander par écrit au ministre de cesser d’être visé par le décret ou règlement.

(2) Sur réception de la demande, le ministre décide s’il existe des motifs raisonnables de recommander au gouverneur en conseil de modifier ou d’abroger, selon le cas, le décret ou le règlement afin que le demandeur cesse d’y être visé.

(3) Il rend sa décision dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de la demande.

(4) S’il rejette la demande, il en donne sans délai avis au demandeur.

(5) Si la situation du demandeur a évolué de manière importante depuis la présentation de sa dernière demande, il peut en présenter une nouvelle. »

8.Article 9, page 7 :

remplacer les lignes 21 à 26 par ce qui suit :

« 9 (1) Toute personne au Canada ou tout Canadien à l’étranger dont le nom est identique ou semblable à celui d’un étranger visé par un décret ou un règlement pris en vertu de l’article 4 et qui prétend ne pas être cet étranger peut demander par écrit au ministre de lui délivrer une attestation portant qu’il n’est pas l’étranger visé.

(2) Dans les quarante-cinq jours suivant la réception de la demande, le ministre :

a) s’il est convaincu que le demandeur n’est pas l’étranger visé, lui délivre l’attestation;

b) dans le cas contraire, transmet au demandeur un avis de sa décision. »

9.Article 10, page 7 :

remplacer la  ligne 27 par ce qui suit :

« 10 (1) L’étranger qui est visé par un décret ou rè- »

10.Article 10, page 8 :

remplacer les lignes 5 à 8 par ce qui suit :

« (2) S’il décide que les biens sont nécessaires pour les dépenses raisonnables du demandeur et celles des personnes à sa charge, le ministre lui délivre l’attestation.

(3) Il rend sa décision et, s’il y a lieu, délivre l’attestation dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de la demande. »

11.Nouvel article 10.1, page 8 :

ajouter, après la ligne 8, le nouvel article suivant :

« Infractions

10.1 Quiconque contrevient sciemment à un décret ou à un règlement pris en vertu de l’article 4 commet une infraction passible, sur déclaration de culpabilité :

a) par mise en accusation, d’un emprisonnement maximal de cinq ans;

b) par procédure sommaire, d’une amende maximale de vingt-cinq mille dollars et d’un emprisonnement maximal d’un an, ou de l’une de ces peines. »

12.Article 15, page 9 :

remplacer les lignes 8 à 14 par ce qui suit :

« (3) Les comités du Sénat et de la Chambre des communes que chaque chambre désigne ou constitue à cette fin peuvent procéder à un examen portant sur les étrangers qui sont visés par un décret ou un règlement pris en vertu de la présente loi et présenter à la chambre concernée un rapport accompagné de leurs recommandations quant à savoir s’ils devraient continuer ou cesser d’être visés par le décret ou le règlement. »

13.Article 16, page 9 :

remplacer les lignes 18 à 20 par ce qui suit :

« 4 (1) S’il juge que s’est produit l’un ou l’autre des faits prévus au paragraphe (1.1), le gouverneur en conseil peut »

14.Article 16, page 10 :

remplacer les lignes 7 à 38 par ce qui suit :

« c) des violations graves et systématiques des droits de la personne ont été commises dans un État étranger;

d) un national d’un État étranger, qui est un agent public étranger, au sens de l’article 2 de la Loi sur la corruption d’agents publics étrangers ou une personne qui est associée à un tel agent, est responsable ou complice d’avoir ordonné, supervisé ou dirigé d’une façon quelconque des actes de corruption — notamment le versement de pots-de-vin, le détournement de biens publics ou privés pour son propre bénéfice, le transfert de produits de la corruption à l’extérieur de l’État étranger ou tout acte de corruption en matière d’expropriation ou visant des marchés publics ou l’extraction de ressources naturelles — qui constituent, compte tenu notamment de leurs effets, de l’importance des sommes en jeu, du degré d’influence ou de la position d’autorité du national ou du fait que le gouvernement de l’État étranger en cause en est complice, des actes de corruption à grande échelle; »

15.Article 17, page 10 :

remplacer  la ligne 39 par ce qui suit :

« 17 (1) Le paragraphe 35(1) de la Loi sur l’immigra-  »

16.Article 17, page 11 :

a)remplacer les lignes 1 à 4 par ce qui suit :

« d) être, sauf dans le cas du résident permanent, une personne présentement visée par un décret ou un règlement pris, au motif que s’est produit l’un ou l’autre des faits prévus aux alinéas 4(1.1)c) ou d) de la Loi sur les mesures économiques spéciales, en vertu de l’article 4 de cette loi;

e) être, sauf dans le cas du résident permanent, une personne présentement visée par un décret ou un règlement »

b)ajouter, après la ligne 7, ce qui suit :

« (2) L’article 35 de la même loi est modifié par adjonction, après le paragraphe (1), de ce qui suit :

(2) Il est entendu que, malgré l’article 33, la personne qui cesse d’être visée par un décret ou un règlement visé aux alinéas (1)d) ou e) cesse dès lors d’être interdite de territoire en application de l’alinéa en cause. »—(L'honorable sénatrice Andreychuk)

No 2.

Le 5 octobre 2017—Étude des amendements apportés par la Chambre des communes au projet de loi S-231, Loi modifiant la Loi sur la preuve au Canada et le Code criminel (protection des sources journalistiques) :

1.Article 2, page 2 :

a)supprimer  les lignes 1 et 2;

b)remplacer la ligne 25, de la version française, par ce qui suit :

« (8) Le tribunal, l’organisme ou la personne ne peut autori- »

c)remplacer la ligne 26, de la version anglaise, par ce qui suit :

“in evidence by any other reasonable means; and”

d)remplacer les lignes 34 et 35 par ce qui suit :

« (i) de l’importance du renseignement ou du document à l’égard d’une question essentielle dans le cadre de l’instance; »

2.Article 2, page 3 :

remplacer les lignes 3 à 5 par ce qui suit :

« (8.1) La décision rendue en vertu du paragraphe (8) peut être assortie des conditions que le tribunal, l’organisme ou la personne estime indiquées afin de protéger l’identité de la source journalistique. »

3.Article 3, page 4 :

a)remplacer les lignes 13 à 19 par ce qui suit :

« (2) Malgré les autres dispositions de la présente loi, si le demandeur d’un mandat prévu aux articles 487.01, 487.1, 492.1 ou 492.2, d’un mandat de perquisition prévu par la présente loi, notamment à l’article 487, d’une autorisation prévue aux articles 184.2, 184.3, 186 ou 188, ou d’une ordonnance prévue à l’un des articles 487.014 à 487.017 sait que sa demande concerne les com- »

b)remplacer  la ligne 22 par ce qui suit :

« session, il en fait la demande à un juge d’une cour »

c)remplacer la ligne 24 par ce qui suit :

« l’article 552, qui ont compétence exclusive pour statuer sur la demande. »

4.Article 3, page 5 :

a)ajouter, après la ligne 2, ce qui suit :

« (4.1) Les paragraphes (3) et (4) ne s’appliquent pas à la demande d’un mandat, d’une autorisation ou d’une ordonnance qui porte sur la commission d’une infraction par un journaliste.

(4.2) Le juge qui décerne un mandat, une autorisation ou une ordonnance qui est visé au paragraphe (2) et porte sur la commission d’une infraction par un journaliste peut, s’il l’estime nécessaire pour protéger la confidentialité des sources journalistiques, ordonner qu’il soit disposé conformément à l’article 488.02 de tout ou partie des documents obtenus en exécution du mandat, de l’autorisation ou de l’ordonnance. »

b)remplacer la ligne 3 par ce qui suit :

« (5) Le mandat, l’autorisation ou l’ordonnance visé au paragraphe (2) peut être »

c)remplacer la ligne 8 par ce qui suit :

« l’autorisation ou l’ordonnance visé au paragraphe (2) dispose des mêmes pou- »

d)ajouter, après la ligne 10, ce qui suit :

« (7) Le fonctionnaire qui exerce des attributions au titre d’un mandat, d’une autorisation ou d’une ordonnance visé au paragraphe (2), mais dont la demande n’avait pas été faite conformément à ce paragraphe, et qui apprend que le mandat, l’autorisation ou l’ordonnance porte sur les communications d’un journaliste ou une chose, un document ou des données concernant un journaliste ou en sa possession est tenu, dès que possible, d’en saisir ex parte un juge d’une cour supérieure de juridiction criminelle ou un juge au sens de l’article 552 et, jusqu’à ce que le juge statue sur l’affaire :

a) de s’abstenir d’examiner ou de reproduire, en tout ou en partie, les documents obtenus en exécution du mandat, de l’autorisation ou de l’ordonnance;

b) de placer les documents dans un paquet scellé, en un lieu auquel le public n’a pas accès.

(8) Le juge saisi en application du paragraphe (7) peut :

a) confirmer le mandat, l’autorisation ou l’ordonnance s’il estime qu’il n’y a pas lieu de l’assortir de conditions additionnelles afin de protéger la confidentialité des sources journalistiques et de limiter la perturbation des activités journalistiques;

b) modifier le mandat, l’autorisation ou l’ordonnance en l’assortissant des conditions qu’il estime indiquées afin de protéger la confidentialité des sources journalistiques et de limiter la perturbation des activités journalistiques;

c) s’il l’estime nécessaire pour protéger la confidentialité des sources journalistiques, ordonner qu’il soit disposé conformément à l’article 488.02 de tout ou partie des documents obtenus, ou qui seront obtenus, en exécution du mandat, de l’autorisation ou de l’ordonnance;

d) annuler le mandat, l’autorisation ou l’ordonnance s’il estime que le demandeur du mandat, de l’autorisation ou de l’ordonnance savait, ou aurait raisonnablement dû savoir, que sa demande portait sur les communications d’un journaliste ou une chose, un document ou des données concernant un journaliste ou en sa possession. »

e)remplacer la ligne 13 par ce qui suit :

« né conformément au paragraphe 488.01(3) ou visés par une ordonnance rendue au titre du paragraphe 488.01(4.2) ou de l’alinéa 488.01(8)c) sont placés »

f)remplacer la ligne 22 par ce qui suit :

« sans donner au journaliste et à l’or- »

g)remplacer les lignes 24 et 25 par ce qui suit :

« miner ou de reproduire le document. »

5.Article 3, page 6 :

supprimer les lignes 21 à 23.—(L'honorable sénateur Carignan, C.P.)


Projets de loi d’intérêt public du Sénat – Troisième lecture

No 1.

Le 5 octobre 2017—Troisième lecture du projet de loi S-210, Loi modifiant la Loi modifiant la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés, la Loi sur le mariage civil, le Code criminel et d’autres lois en conséquence.—(L'honorable sénatrice Jaffer)

No 2. (deux)

Le 28 mars 2017—Troisième lecture du projet de loi S-213, Loi modifiant la Loi constitutionnelle de 1867 et la Loi sur le Parlement du Canada (présidence du Sénat).—(L'honorable sénateur Mercer)

No 3.

Le 13 juin 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Tkachuk, appuyé par l’honorable sénateur Carignan, C.P., tendant à la troisième lecture du projet de loi S-219, Loi visant à dissuader l’Iran de parrainer des actes constituant du terrorisme, de l’incitation à la haine et des violations des droits de la personne.—(L'honorable sénatrice Cools)


Projets de loi d’intérêt public des Communes – Troisième lecture

No 1. (huit)

Le 7 mars 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Lankin, C.P., appuyée par l’honorable sénatrice Petitclerc, tendant à la troisième lecture du projet de loi C-210, Loi modifiant la Loi sur l’hymne national (genre).

Et sur la motion d’amendement de l’honorable sénatrice Beyak, appuyée par l’honorable sénateur Dagenais,

Que le projet de loi C-210, ne soit pas maintenant lu une troisième fois, mais qu’il soit modifié, à la page 1, par adjonction, après la ligne 6, de ce qui suit :

« 2 La présente loi entre en vigueur le 1er juillet 2017 ou, si elle est postérieure, à la date de sa sanction. ».

Et sur le sous-amendement de l’honorable sénateur Plett, appuyé par l’honorable sénateur Wells:

Que la motion d’amendement proposée par l’honorable sénatrice Beyak soit modifiée, par substitution, aux mots « juillet 2017 ou, si elle est postérieure, à la date de sa sanction » des mots « novembre 2017 ».—(L'honorable sénateur Woo)

No 2. (trois)

Le 28 septembre 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Gold, appuyé par l’honorable sénatrice Mégie, tendant à la troisième lecture du projet de loi C-305, Loi modifiant le Code criminel (méfait).—(L'honorable sénatrice Frum)


Projets de loi d’intérêt privé – Troisième lecture

Aucun


Projets de loi d’intérêt public du Sénat – Rapports de comités

No 1.

Le 5 octobre 2017—Étude du seizième rapport du Comité sénatorial permanent des affaires sociales, des sciences et de la technologie (Projet de loi S-214, Loi modifiant la Loi sur les aliments et drogues (cosmétiques sans cruauté), avec des amendements), présenté au Sénat le 5 octobre 2017.—(L'honorable sénateur Ogilvie)


Projets de loi d’intérêt public des Communes – Rapports de comités

Aucun


Projets de loi d’intérêt privé – Rapports de comités

Aucun


Projets de loi d’intérêt public du Sénat – Deuxième lecture

No 1. (un)

Le 2 février 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Hervieux-Payette, C.P., appuyée par l’honorable sénateur Joyal, C.P., tendant à la deuxième lecture du projet de loi S-206, Loi modifiant le Code criminel (protection des enfants contre la violence éducative ordinaire).—(L'honorable sénatrice Andreychuk)

No 2. (dix)

Le 24 mars 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Patterson, appuyée par l’honorable sénateur Enverga, tendant à la deuxième lecture du projet de loi S-221, Loi modifiant la Loi constitutionnelle de 1867 (qualifications des sénateurs en matière de propriété).—(L'honorable sénatrice Martin)

No 3. (cinq)

Le 16 mai 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Ringuette, appuyée par l’honorable sénatrice Bovey, tendant à la deuxième lecture du projet de loi S-237, Loi modifiant le Code criminel (taux d’intérêt criminel).—(L'honorable sénatrice Martin)

No 4. (treize)

Le 16 mai 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur MacDonald, appuyée par l’honorable sénateur Tkachuk, tendant à la deuxième lecture du projet de loi S-238, Loi modifiant la Loi sur les pêches et la Loi sur la protection d’espèces animales ou végétales sauvages et la réglementation de leur commerce international et interprovincial (importation de nageoires de requin).—(L'honorable sénatrice Griffin)

No 5. (deux)

Le 1er juin 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Frum, appuyée par l’honorable sénateur Housakos, tendant à la deuxième lecture du projet de loi S-239, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (élimination du financement étranger).—(L'honorable sénatrice Omidvar)


Projets de loi d’intérêt public des Communes – Deuxième lecture

No 1. (dix)

Le 19 juin 2017—Deuxième lecture du projet de loi C-211, Loi concernant un cadre fédéral relatif à l'état de stress post-traumatique.—(L'honorable sénateur Housakos)

No 2. (douze)

Le 14 juin 2017—Deuxième lecture du projet de loi C-243, Loi visant l'élaboration d'une stratégie relative au programme national d'aide à la maternité.—(L'honorable sénateur Day)

No 3. (huit)

Le 22 juin 2017—Deuxième lecture du projet de loi C-309, Loi instituant la Semaine de l'égalité des sexes.—(L'honorable sénateur Harder, C.P.)

No 4. (sept)

Le 20 septembre 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Day, appuyée par l’honorable sénateur Mercer, tendant à la deuxième lecture du projet de loi C-311, Loi modifiant la Loi instituant des jours de fête légale (jour du Souvenir).—(L'honorable sénatrice Martin)

No 5. (deux)

Le 6 juin 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Andreychuk, appuyée par l’honorable sénatrice Seidman, tendant à la deuxième lecture du projet de loi C-337, Loi modifiant la Loi sur les juges et le Code criminel (agression sexuelle).—(L'honorable sénateur Mercer)


Projets de loi d’intérêt privé – Deuxième lecture

Aucun


Rapports de comités – Autres

No 1. (neuf)

Le 15 novembre 2016—Reprise du débat sur l’étude du premier rapport (intérimaire) du Comité sénatorial spécial sur la modernisation du Sénat, intitulé La modernisation du Sénat : Aller de l’avant, déposé auprès du greffier du Sénat le 4 octobre 2016.—(L'honorable sénatrice Bellemare)

No 5. (douze)

Le 2 novembre 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Tannas, appuyée par l’honorable sénateur Wells, tendant à l’adoption du sixième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial spécial sur la modernisation du Sénat, intitulé La modernisation du Sénat : Aller de l’avant (Présidence), présenté au Sénat le 5 octobre 2016.—(L'honorable sénateur Day)

No 6. (cinq)

Le 22 novembre 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Massicotte, appuyée par l’honorable sénateur Moore tendant à l’adoption du septième rapport (intérimaire), tel que modifié, du Comité sénatorial spécial sur la modernisation du Sénat, intitulé La modernisation du Sénat : Aller de l’avant (Intérêt régional), présenté au Sénat le 18 octobre 2016.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 7. (neuf)

Le 28 février 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Frum, appuyée par l’honorable sénatrice Beyak tendant à l’adoption du neuvième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial spécial sur la modernisation du Sénat, intitulé La modernisation du Sénat : Aller de l’avant (période des questions), présenté au Sénat le 25 octobre 2016.—(L'honorable sénateur Mercer)

No 8. (treize)

Le 12 décembre 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Joyal, C.P., appuyée par l’honorable sénatrice Cordy tendant à l’adoption du dixième rapport (intérimaire), tel que modifié, du Comité sénatorial spécial sur la modernisation du Sénat, intitulé La modernisation du Sénat : Aller de l’avant (Nature), présenté au Sénat le 26 octobre 2016.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 10. (sept)

Le 7 mars 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur MacDonald, appuyée par l’honorable sénateur Patterson,

Que le sixième rapport du Comité sénatorial permanent des transports et des communications, intitulé Des pipelines pour le pétrole : protéger notre économie, respecter notre environnement, qui a été déposé auprès du greffier du Sénat le 7 décembre 2016, soit adopté et que, conformément à l’article 12-24(1) du Règlement, le Sénat demande une réponse complète et détaillée du gouvernement, le ministre des Ressources naturelles ayant été désigné ministre chargé de répondre à ce rapport, en consultation avec les ministres des Transports et des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne.—(L'honorable sénateur Day)

No 12. (quatorze)

Le 7 mars 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Smith, appuyée par l’honorable sénatrice Ataullahjan,

Que le douzième rapport du Comité sénatorial permanent des finances nationales intitulé Mieux planifier, mieux investir : Atteindre le succès en infrastructure, déposé auprès du greffier du Sénat le 28 février 2017, soit adopté et que, conformément à l’article 12-24(1) du Règlement, le Sénat demande une réponse complète et détaillée du gouvernement, le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités étant désigné ministre chargé de répondre à ce rapport.—(L'honorable sénatrice Bellemare)

No 14. (quatorze)

Le 1er juin 2017—Reprise du débat sur l’étude du cinquième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial permanent de l’énergie, de l’environnement et des ressources naturelles, intitulé Positionner le secteur de l’électricité canadien : vers un avenir restreint en carbone, déposé auprès du greffier du Sénat le 7 mars 2017.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 15. (treize)

Le 28 mars 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Fraser, appuyée par l’honorable sénatrice Hubley tendant à l’adoption du quatrième rapport (intérimaire) du Comité permanent du Règlement, de la procédure et des droits du Parlement, intitulé Ordre sessionnel, présenté au Sénat le 7 mars 2017.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 29. (dix)

Le 9 mai 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Lang, appuyée par l’honorable sénateur Smith, tendant à l’adoption du dixième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial permanent de la sécurité nationale et de la défense, intitulé Sous-financement des Forces armées canadiennes : passons de la parole aux actes, déposé auprès du greffier du Sénat le 13 avril 2017.

Et sur la motion d’amendement de l’honorable sénateur Eggleton, C.P., appuyée par l’honorable sénateur Day,

Que le dixième rapport du Comité sénatorial permanent de la sécurité nationale et de la défense ne soit pas maintenant adopté, mais qu’il soit modifié par suppression de la deuxième recommandation.—(L'honorable sénateur Lang)

No 33. (dix)

Le 11 mai 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Lang, appuyée par l’honorable sénatrice Martin,

Que l’onzième rapport du Comité sénatorial permanent de la sécurité nationale et de la défense, intitulé Réinvestir dans les Forces armées canadiennes : Un plan pour l’avenir, qui a été déposé auprès du greffier du Sénat le 8 mai 2017, soit adopté et que, conformément à l’article 12-24(1) du Règlement, le Sénat demande une réponse complète et détaillée du gouvernement, le ministre de la Défense nationale étant désigné ministre chargé de répondre à ce rapport.

Et sur la motion de l’honorable sénateur Eggleton, C.P., appuyée par l’honorable sénateur Day,

Que le onzième rapport du Comité sénatorial permanent de la sécurité nationale et de la défense ne soit pas maintenant adopté, mais qu’il soit renvoyé au Comité sénatorial permanent de la sécurité nationale et de la défense pour examen, particulièrement à la lumière du document intitulé La politique de défense du Canada : Protection, Sécurité, Engagement, déposé au Sénat le 7 juin 2017. —(L'honorable sénatrice Boniface)

No 40. (sept)

Le 21 juin 2017—Reprise du débat sur l’étude du treizième rapport du Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international, intitulé Les relations entre le Canada et l’Argentine à l’aube d’une nouvelle ère?, déposé au Sénat le 1er juin 2017.—(L'honorable sénatrice Andreychuk)

No 50. (sept)

Le 22 juin 2017—Étude du dixième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial permanent de l’énergie, de l’environnement et des ressources naturelles, intitulé La décarbonisation des transports au Canada, déposé au Sénat le 22 juin 2017.—(L'honorable sénateur Massicotte)

No 51. (sept)

Le 19 septembre 2017—Étude du dix-neuvième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial permanent des finances nationales, intitulé Soyons prêts : Pour une nouvelle génération d'aînés actifs, déposé auprès du greffier du Sénat le 27 juin 2017.—(L'honorable sénateur Mockler)

No 52. (sept)

Le 19 septembre 2017—Étude du vingtième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial permanent des finances nationales, intitulé Mieux Planifier, Mieux Investir : Assurer la transparence, la reddition de compte et la prévisibilité des programmes d'infrastructures fédéraux, déposé auprès du greffier du Sénat le 6 juillet 2017.—(L'honorable sénateur Mockler)

No 53. (sept)

Le 20 septembre 2017—Étude du seizième rapport (intérimaire) du Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international, intitulé Aggravation de la crise au Venezuela : enjeux pour le Canada et la région, déposé auprès de la greffière du Sénat le 20 juillet 2017.—(L'honorable sénatrice Andreychuk)

No 54. (sept)

Le 20 septembre 2017—Étude du seizième rapport du Comité sénatorial permanent des banques et du commerce, intitulé Étudier les questions actuelles et émergentes dans le secteur bancaire et la politique monétaire aux États-Unis, déposé auprès du greffier du Sénat le 28 juin 2017.—(L'honorable sénateur Tkachuk)


Motions

No 31. (cinq)

Le 2 février 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Bellemare, appuyée par l’honorable sénateur Enverga,

Que le Sénat — dans le but d’assurer la transparence dans l’octroi des deniers publics et de promouvoir l’efficacité des projets d’infrastructures dans le contexte plus large de la diversification de l’économie et des ajustements vers une économie plus verte, tout en évitant une intervention indue dans la répartition des pouvoirs entre le fédéral et les provinces — encourage le gouvernement à prévoir dans le budget la création d’un Conseil canadien de veille sur les infrastructures et de promotion des meilleures pratiques, composé d’experts dans les projets d’infrastructures en provenance des provinces et des territoires, et ayant comme principales missions :

1. de colliger les informations sur les différents projets d’infrastructures financés par le fédéral;

2. d’étudier les coûts et les bénéfices liés aux différents projets d’infrastructures financés par le fédéral;

3. d’identifier les meilleures pratiques d’acquisitions au sens large et de partage de risques;

4. de faire la promotion de ces meilleures pratiques auprès des gouvernements;

5. de promouvoir le développement des compétences des gestionnaires de projets;

Qu’un message soit renvoyé à la Chambre des communes pour l’informer de ce qui précède.—(L'honorable sénateur Plett)

No 73. (neuf)

Le 24 mars 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Patterson, appuyée par l’honorable sénateur Runciman,

Attendu :

que le Sénat défend les intérêts de groupes souvent sous-représentés au Parlement, tels les Autochtones, les minorités visibles et les femmes;

que le point 3 de l’article 23 de la Loi constitutionnelle de 1867 prévoit qu’une personne doit, pour être nommée au Sénat et y conserver son siège, posséder des terres d’une valeur nette minimale de quatre mille dollars situées dans la province pour laquelle elle est nommée;

qu’il se peut que des circonstances personnelles ou le marché immobilier d’une région donnée empêchent une personne de posséder la propriété requise;

que chacun devrait être admissible à une nomination au Sénat, indépendamment de la valeur nette de ses biens immobiliers;

que la qualification en matière de propriété immobilière n’est pas conforme aux valeurs démocratiques de la société canadienne moderne et qu’elle ne constitue plus une garantie adéquate ou valable de l’aptitude d’une personne à siéger au Sénat;

que chacun des vingt-quatre sénateurs du Québec est nommé pour un collège électoral donné et doit remplir la qualification en matière de propriété immobilière dans ce collège électoral ou y résider;

que les dispositions de la Constitution du Canada applicables à certaines provinces seulement ne peuvent être modifiées que par proclamation du gouverneur général sous le grand sceau du Canada, autorisée par des résolutions du Sénat, de la Chambre des communes et de l’assemblée législative de chaque province concernée;

que la Cour suprême du Canada a déclaré que l’abrogation complète du point 3 de l’article 23 de la Loi constitutionnelle de 1867 concernant la qualification des sénateurs en matière de propriété immobilière requiert une résolution de l’Assemblée nationale du Québec conformément à l’article 43 de la Loi constitutionnelle de 1982,

Le Sénat a résolu d’autoriser la modification de la Constitution du Canada par proclamation de Son Excellence le gouverneur général sous le grand sceau du Canada, en conformité avec l’annexe ci-jointe.

ANNEXE

MODIFICATION À LA CONSTITUTION DU CANADA

1.(1) Le point 3 de l’article 23 de la Loi constitutionnelle de 1867 est abrogé.

(2) L’article 23 de la même loi est modifié par remplacement du point-virgule à la fin du point 5 par un point et par abrogation du point 6.

2. La Déclaration des qualifications exigées figurant à la cinquième annexe de la même loi est remplacée par ce qui suit :

Je, A.B., déclare et atteste que j’ai les qualifications exigées par la loi pour être nommé membre du Sénat du Canada.

3.Titre de la présente modification : « Modification constitutionnelle de (année de proclamation) (qualification des sénateurs en matière de propriété immobilière) ».—(L'honorable sénatrice Ringuette)

No 89. (treize)

Le 12 mai 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Bellemare, appuyée par l’honorable sénateur Harder, C.P.,

Que le Règlement du Sénat soit modifié, afin que les rapports législatifs des comités du Sénat respectent une méthodologie transparente, intelligible et non-partisane, par substitution de l’article 12-23(1) par ce qui suit : 

« Obligation de faire rapport d’un projet de loi

12-23. (1) Le comité saisi d’un projet de loi doit en faire rapport au Sénat; ce rapport fait état de tout amendement recommandé par le comité et doit inclure en annexe les observations de celui-ci sur les sujets suivants :

a) la conformité, de manière générale, du projet de loi à la Constitution du Canada, notamment :

(i) la Charte canadienne des droits et libertés;

(ii) le partage des compétences législatives entre le Parlement et les législatures provinciales et territoriales;

b) la conformité du projet de loi aux traités et accords internationaux signés ou ratifiés par le Canada;

c) le fait que le projet de loi porte ou non atteinte indûment aux minorités ou aux groupes défavorisés sur le plan économique;

d) le fait que le projet de loi a des impacts sur des provinces ou territoires;

e) le fait que les consultations appropriées ont été tenues;

f) toutes erreurs manifestes de rédaction;

g) les amendements au projet de loi présentés au comité qui n’ont pas été adoptés par celui-ci, de même que le texte de ces amendements;

h) toute autre question qui, de l’avis du comité, doit être portée à l’attention du Sénat. »

Et sur la motion d’amendement de l’honorable sénatrice Nancy Ruth, appuyée par l’honorable sénateur Tkachuk,

Que la motion ne soit pas maintenant adoptée, mais qu’elle soit modifiée par :

1.adjonction du nouveau paragraphe suivant après le paragraphe c) proposé :

« d) le fait que le projet de loi a fait l’objet d’une analyse comparative entre les sexes approfondie; »;

2.modification de la désignation des paragraphes d) à h) proposés à e) à i).—(L'honorable sénatrice Martin)

No 92. (neuf)

Le 17 mai 2016—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Ngo, appuyée par l’honorable sénateur Cowan,

Que le Sénat observe avec inquiétude le comportement de plus en plus hostile de la République populaire de Chine dans la mer de Chine méridionale et exhorte par conséquent le gouvernement du Canada à encourager toutes les parties en cause, et en particulier la République populaire de Chine, à :

a)reconnaître et maintenir la liberté de navigation et de survol garantie par le droit international coutumier et la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer;

b)cesser toutes les activités qui pourraient compliquer ou aggraver les différends, notamment la construction d’îles artificielles, l’extension du territoire terrestre en mer et l’accroissement de la militarisation de la région;

c)respecter tous les efforts multilatéraux antérieurs visant à régler les différends et s’engager à mettre en œuvre un code de conduite contraignant dans la mer de Chine méridionale;

d)s’engager à trouver une solution pacifique et diplomatique aux différends qui est conforme aux dispositions de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et respecter les ententes de règlement conclues par la voie de l’arbitrage international;

e)renforcer les efforts visant à réduire considérablement les impacts environnementaux des différends sur le fragile écosystème de la mer de Chine méridionale;

Que, de plus, le Sénat exhorte le gouvernement du Canada à appuyer ses partenaires et ses alliés régionaux et à prendre les mesures additionnelles qui s’imposent pour désamorcer les tensions et rétablir la paix et la stabilité dans la région;

Qu’un message soit transmis à la Chambre des communes pour l’en informer.—(L'honorable sénateur Day)

No 139. (treize)

Le 7 février 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Joyal, C.P., appuyée par l’honorable sénateur Eggleton, C.P.,

Que profitant de l’opportunité de célébrer les 150 ans du Canada comme pays uni et de reconnaître la contribution des Premières Nations, l’établissement des premiers colons et l’apport continu des immigrants en provenance de partout au monde, qui ont fait et continuent de faire du Canada une grande nation, le Sénat presse le gouvernement de s’engager à établir une Galerie nationale de portraits dans l’ancienne ambassade américaine, en face du Parlement, comme legs permanent pour marquer cette importante étape dans l’histoire de notre pays et en reconnaissance de la contribution de ces milliers de personnes et talents qui ont contribué à son succès.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 146. (dix)

Le 12 décembre 2016—Reprise du débat sur la motion, telle que modifiée, de l’honorable sénatrice Ringuette, appuyée par l’honorable sénatrice Lankin, C.P.,

Que le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce soit autorisé à :

a)Étudier les opérations de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) ainsi que l’Ombudsman des services bancaires et d’investissement (OSBI), et l’ADR Chambers – Bureau de l’Ombudsman des services bancaires (ADRBO);

b)Étudier le respect et l’interaction de ces organismes envers les juridictions provinciales;

c)Étudier et déterminer les pratiques exemplaires d’organismes similaires ailleurs dans le monde;

d)Fournir des recommandations pour s’assurer que l’ACFC, l’OSBI, et l’ADRBO puissent mieux protéger les consommateurs et respecter les compétences provinciales;

Que le Comité présente son rapport final au plus tard le 18 mars 2018 et qu’il conserve tous les pouvoirs nécessaires pour diffuser ses conclusions dans les 180 jours suivant le dépôt du rapport final.—(L'honorable sénateur Tkachuk)

No 158. (un)

Le 7 février 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Merchant, appuyée par l’honorable sénateur Housakos,

Que le Sénat demande au gouvernement du Canada :

a) de reconnaître le génocide des grecs pontiques de 1916 à 1923 et de condamner toute tentative pour nier un fait historique ou pour tenter de le dépeindre autrement que comme un génocide, c’est-à-dire un crime contre l’humanité;

b) de désigner le 19 mai de chaque année au Canada comme journée pour commémorer les plus de 353 000 grecs pontiques tués ou expulsés de leurs résidences.—(L'honorable sénatrice Ringuette)

No 174. (sept)

Le 18 mai 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Enverga, appuyée par l’honorable sénateur Runciman,

Que le Règlement du Sénat soit modifié par substitution de l’article 4 de ce qui suit :

« Prière et hymne national

4-1.(1) Dès qu’il constate que le quorum est atteint, le Président récite la prière et, un mardi, donne ensuite la parole à un sénateur ou à des personnes invitées afin d’entonner la version bilingue d’ « O Canada ».

Chanteurs invités

4-1.(2) Le Président peut inviter des personnes à prendre place dans la tribune afin d’entonner l’hymne national. » —(L'honorable sénatrice Omidvar)

No 189. (cinq)

Le 8 mai 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Ringuette, appuyée par l’honorable sénatrice McCoy,

Que le Règlement du Sénat soit modifié :

1.par le remplacement du point à la fin de l’article 12-7(16) par ce qui suit :

« ;

Ressources humaines

12-7. (17) le Comité sénatorial permanent des ressources humaines, qui peut être saisi de toute question concernant les ressources humaines en général. » ;

2.par la mise à jour en conséquence de tous les renvois dans le Règlement.—(L'honorable sénatrice Fraser)

No 206. (six)

Le 1er juin 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Mercer, appuyée par l’honorable sénatrice Fraser,

Qu’un Comité spécial sur le secteur de la bienfaisance soit formé pour examiner l’impact des lois et politiques fédérales et provinciales gouvernant les organismes de bienfaisance, les organismes à but non lucratif, les fondations et autres groupes similaires, et pour examiner l’impact du secteur volontaire au Canada;

Que le comité soit composé de huit membres, désignés par le Comité de sélection, et que le quorum soit constitué de quatre membres;

Que le comité soit habilité à convoquer des personnes, à obtenir des documents et des dossiers, à interroger des témoins et à faire imprimer au jour le jour les documents et témoignages dont il peut ordonner l’impression;

Que, nonobstant l’article 12-18(2)b)(i) du Règlement, le comité soit habilité à se réunir du lundi au vendredi, même si le Sénat est alors ajourné pour une période de plus d’une semaine;

Que le comité soit habilité à faire rapport de temps à autre et à présenter son rapport final au plus tard le 28 septembre 2018, et qu’il conserve tous les pouvoirs nécessaires pour diffuser ses conclusions dans les 60 jours suivant le dépôt du rapport final.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 215. (sept)

Le 20 juin 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénateur Dawson, appuyée par l’honorable sénateur Munson,

Que le Sénat prenne note du Programme à l’horizon 2030 et des objectifs de développement durable connexes adoptés par l’Organisation des Nations Unies le 25 septembre 2015 et encourage le gouvernement du Canada à en tenir compte dans l’élaboration des lois et l’établissement de politiques en matière de développement durable.—(L'honorable sénatrice Ataullahjan)

No 223. (dix)

Le 13 juin 2017—Reprise du débat sur la motion de l’honorable sénatrice Ringuette, appuyée par l’honorable sénateur Woo,

Que :

1.la prochaine fois que les Autres affaires seront appelées après l’adoption de cette motion, le Sénat se forme en comité plénier afin d’étudier le rôle de la Direction des communications;

2.ce comité plénier se réunisse à chaque séance subséquente du Sénat, au début des Autres affaires, jusqu’à ce qu’il ait terminé ses travaux, sans devoir faire rapport de l’état de la question et demander la permission de siéger de nouveau;

3.pendant que ce comité plénier se réunit, les dispositions de l’article 12-33 du Règlement soient suspendues, à condition qu’un sénateur puisse à tout moment proposer que la séance soit levée, cette motion étant mise aux voix sans débat ni amendement, et, si elle est adoptée, le comité lèvera sa séance jusqu’au moment prévu au paragraphe 2 de cet ordre;

4.ce comité plénier entende le président du Comité de la régie interne, des budgets et de l’administration; la directrice des Communications; la directrice des Services d’information; le directeur des Ressources humaines ainsi que tout autre témoin qu’il juge approprié;

5.une fois les travaux du comité terminés, la présidence fasse rapport le plus tôt possible lors de la présentation ou dépôt de rapports de comités au cours des Affaires courantes.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 240.

Le 27 septembre 2017—Reprise du débat sur la motion, telle que modifiée, de l’honorable sénatrice Ataullahjan, appuyée par l’honorable sénateur Tkachuk,

Que le Sénat exhorte le gouvernement du Canada à encourager le gouvernement du Myanmar :

1.à mettre immédiatement un terme à la violence et aux violations graves des droits de la personne contre les musulmans rohingya;

2.à respecter son engagement à appuyer la lettre et l’esprit de la Déclaration universelle des droits de l’homme;

3.à répondre aux appels urgents de la communauté internationale et permettre l’entrée d’observateurs indépendants au pays, notamment à l’état de Rakhine;

Qu’un message soit transmis à la Chambre des communes l’invitant à se joindre au Sénat aux fins susmentionnées.—(L'honorable sénateur Munson)


Interpellations

No 1. (dix)

Le 10 décembre 2015—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Chaput, attirant l’attention du Sénat sur le Programme d’appui aux droits linguistiques, l’importance d’assurer un financement public pour des recours en justice visant une société juste et équitable et l’urgence pour le gouvernement fédéral de rétablir le Programme de contestation judiciaire.—(L'honorable sénateur Joyal, C.P.)

No 8. (un)

Le 5 mai 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Bellemare, attirant l’attention du Sénat sur le travail législatif qu’a accompli le Sénat de la 24e à la 41e législature et concernant des éléments d’évaluation.—(L'honorable sénatrice Andreychuk)

No 11. (trois)

Le 20 juin 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Tardif, attirant l’attention du Sénat sur le Sentier transcanadien — son histoire, ses bienfaits et les défis auxquels ce projet fait face à l’approche du 25e anniversaire de son existence.—(L'honorable sénateur McIntyre)

No 12. (deux)

Le 18 mai 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Seidman, attirant l’attention du Sénat sur son rôle de protection dans la représentation des régions et des minorités.—(L'honorable sénatrice Martin)

No 13. (onze)

Le 25 octobre 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Bellemare, attirant l’attention du Sénat sur la pertinence du plein-emploi au XXIe siècle dans une économie globalisée.—(L'honorable sénateur Cormier)

No 14. (douze)

Le 29 novembre 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Hubley, attirant l’attention du Sénat sur la situation actuelle de l’alphabétisation et des programmes d’alphabétisation à l’Île-du-Prince-Édouard, notamment sur la nécessité pour le gouvernement fédéral d’appuyer la PEI Literacy Alliance.—(L'honorable sénatrice Cordy)

No 18. (neuf)

Le 1er décembre 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénateur Mockler, attirant l’attention du Sénat sur la question de la sécurité des oléoducs au Canada et sur le projet d’édification nationale que représente la proposition Énergie Est ainsi que ses retombées pour l’économie canadienne.—(L'honorable sénateur Day)

No 19. (un)

Le 8 décembre 2016—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Pate, attirant l’attention du Sénat sur la situation actuelle des personnes qui comptent parmi les plus marginalisées, victimisées, criminalisées et internées au Canada, et plus particulièrement sur la surreprésentation croissante des femmes autochtones dans les prisons canadiennes.—(L'honorable sénatrice Boniface)

No 20. (six)

Le 14 février 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Tardif, attirant l’attention du Sénat sur les universités régionales et leur importance pour le Canada.—(L'honorable sénateur Christmas)

No 23. (dix)

Le 13 juin 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Cordy, attirant l’attention du Sénat sur l’importance de la désignation des soins palliatifs à titre de soins de santé assurés en vertu de la Loi canadienne sur la santé, ainsi que sur l’importance de l’élaboration d’une stratégie nationale pour l’uniformisation des normes et de la prestation en matière de soins palliatifs. —(L'honorable sénatrice Eaton)

No 24. (un)

Le 16 mai 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Wallin, attirant l’attention du Sénat sur la proposition du sénateur Harder, intitulée « Second examen objectif »,  qui passe en revue le rendement du Sénat depuis la nomination des sénateurs indépendants et qui recommande la création d’un nouveau comité des travaux du Sénat. —(L'honorable sénateur Sinclair)

No 25. (six)

Le 11 mai 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénateur Maltais, attirant l’attention du Sénat sur la crise du bois d’œuvre.—(L'honorable sénateur Plett)

No 26. (six)

Le 30 mai 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice McPhedran, attirant l’attention du Sénat sur l’importante occasion qui nous est offerte de revoir nos principes et procédures pour que le Sénat ait les politiques et mécanismes les plus solides et les plus efficaces possible pour répondre aux plaintes contre les sénateurs et sénatrices en matière de harcèlement sexuel ou d’autres formes de harcèlement.—(L'honorable sénatrice Pate)

No 28. (six)

Le 21 juin 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénatrice Bovey, attirant l’attention du Sénat sur les crises qui sévissent à Churchill au Manitoba.—(L'honorable sénateur Plett)

No 31.

Le 3 octobre 2017—Reprise du débat sur l’interpellation de l’honorable sénateur Munson, attirant l’attention du Sénat sur le 10e anniversaire de son rapport Payer maintenant ou payer plus tard : Les familles d’enfants autistes en crise.—(L'honorable sénatrice McPhedran)


Autres Affaires

Aucune


Feuilleton des préavis

Motions

No 245. (quatre)

Par l’honorable sénatrice Griffin :

Le 26 septembre 2017—Que le Sénat affirme que l’alphabétisation est un pilier du civisme actif et un déterminant de l’amélioration de la santé, et qu’elle est essentielle à une économie novatrice et à la création de bons emplois durables;

Que le Sénat exhorte le gouvernement à tenir compte du contexte régional particulier du Canada atlantique, où les populations sont moindres et souvent établies en zones rurales, au moment de choisir entre le financement par projet et le financement de base pour ses programmes;

Que le Sénat exhorte également la ministre de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et du Travail à faire une exception aux conditions actuelles des programmes de financement par projet du Bureau de l’alphabétisation et des compétences essentielles afin de saisir le Conseil du Trésor d’une demande d’urgence de 600 000 $ en financement de base pour l’Atlantic Partnership for Literacy and Essential Skills, conformément au mémoire soumis au Parlement dans le cadre des consultations prébudgétaires de 2017;

Qu’un message soit transmis à la Chambre des communes pour l’informer de ce qui précède.

No 248.

Par l’honorable sénateur Tkachuk :

Le 5 octobre 2017—Que le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce soit autorisé à étudier, pour en faire rapport, les questions et préoccupations relatives à la cybersécurité et à la cyberfraude, y compris :

les cybermenaces pesant sur le secteur financier et commercial au Canada;

le vol d’identité, l’atteinte à la vie privée et les autres activités frauduleuses ciblant les consommateurs canadiens et les petites entreprises;

l’état actuel des technologies de cybersécurité;

les mesures et les règlements liés à la cybersécurité au Canada et à l’étranger.

Que le comité présente son rapport final au plus tard le vendredi 29 juin 2018 et qu’il conserve tous les pouvoirs nécessaires pour diffuser ses conclusions dans les 180 jours suivant le dépôt du rapport final.

No 249.

Par l’honorable sénateur Tkachuk :

Le 5 octobre 2017—Que le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce soit autorisé à étudier de temps à autre, pour en faire rapport, les questions relatives à la gestion du risque systémique dans le système financier, au pays et dans le monde;

Que le comité présente son rapport final au plus tard le vendredi 29 juin 2018 et qu’il conserve tous les pouvoirs nécessaires pour diffuser ses conclusions dans les 180 jours suivant le dépôt du rapport final.


Interpellations

No 27. (quinze)

Par l’honorable sénatrice Cools :

Le 18 mai 2017—Qu’elle attirera l’attention du Sénat sur la Convention concernant l’échange des populations grecques et turques du 30 janvier 1923 conclue par le gouvernement de la Grèce et la Grande assemblée nationale de Turquie, laquelle prévoyait l’échange obligatoire des ressortissants grecs de religion chrétienne en Turquie et des ressortissants turcs de religion musulmane en Grèce, un échange de population qui a causé une immense douleur aux personnes touchées; sur le fait que cet échange de population forcé en Asie Mineure a été conçu par le premier ministre grec Eleftherios Venizelos; et sur l’ouvrage Twice a Stranger de Bruce Clark, publié en 2006, qui cite, à la page 55, les propos de Venizelos sur la paternité de l’initiative :

[traduction] Le gouvernement doit comprendre que notre position morale au sein de la famille des nations civilisées est grandement entachée par l’incendie criminel et d’autres actes de violence que l’armée grecque s’est donné le droit de commettre en Asie Mineure […] Pour cette raison, nous devons immédiatement regagner l’estime du monde, et le transfert obligatoire des populations doit être effectué de telle sorte que cette mesure — qui constitue en soi un acte barbare sans contredit — sera mieux acceptée comme une solution de dernier recours, appliquée avec le soin et la sympathie d’un peuple civilisé qui comprend la misère de ceux visés par l’échange obligatoire. Conscient des protestations que fera naître cette mesure à l’étranger, je m’engage à reconnaître publiquement la « paternité » de cette idée et à la défendre. Le peu de prestige qui me reste à l’international aidera à atténuer l’indignation.

a)Et sur la Conférence de paix de Paris 1919 des Alliés et leur Commission interalliée d’enquête sur l’occupation grecque de Smyrne et des territoires adjacents de 1919, et sur l’examen de cette commission concernant l’invasion et l’occupation par l’armée grecque de Smyrne en Anatolie ottomane, le 15 mai de cette même année, qui s’est prolongée sur cinq années; et aux conclusions accablantes du rapport de la Commission sur les agressions de l’armée grecque;

b)Et sur le Traité de Lausanne conclu entre les Alliés et le Gouvernement de la Grande assemblée nationale de Turquie, négocié par le général turc Ismet Inönü et le secrétaire britannique des Affaires étrangères, lord Curzon, qui, en 1922, a été envoyé à Lausanne, en Suisse, par le nouveau premier ministre britannique, Andrew Bonar, né au Canada, afin de négocier les termes du traité de paix, qui a été signé le 24 juillet 1923;

c)Et sur l’ouvrage de 1969 du député britannique David Walder, The Chanak Affair, au sujet de la guerre évitée à Tchanak dans le détroit des Dardanelles entre les Alliés et les forces de la Grande assemblée nationale de Turquie; et sur les propos de Walder, à la page 170, sur la guerre gréco-turque à Smyrne et l’effondrement de l’armée grecque :

[traduction] Le moral de l’armée grecque flanche complètement. Depuis trop longtemps l’armée est stationnée en Anatolie, mal ravitaillée, apparemment négligée par Athènes et constamment harcelée par l’ennemi. Lorsque les Turcs font avancer leurs troupes, l’armée grecque se dissout. Les soldats refusent d’obéir aux officiers, les officiers refusent d’obéir aux généraux. La retraite se transforme en déroute. Les renforts dépêchés hâtivement de Smyrne refusent de débarquer. Sans discipline, l’armée grecque se mue en masse vindicative et apeurée. En route vers la côte, elle décharge sa rage sur les civils turcs; elle assassine, pille, brûle les villages, profane des mosquées en y abattant des porcs, abjects aux yeux des musulmans. Certaines unités conservent leur discipline et parviennent à offrir une certaine résistance aux Turcs, mais, dans la majorité des cas, la panique a supplanté la raison, et le chemin vers la mer est ponctué de pièces d’artillerie, de munitions, de fusils et de matériel abandonnés […] Le 3 septembre, les Grecs, comprenant que leur position est sans issue, exhortent leurs anciens alliés à user de leur influence pour proposer un armistice. En vain. C’était peine perdue de toute façon.

d)Et sur le Traité de Lausanne, qui a mis fin à l’occupation des forces alliées en Turquie qui avait commencé le 13 novembre 1918, deux jours après l’Armistice du 11 novembre qui a marqué la fin des hostilités de la Grande Guerre, à l’exception de celles visant la Turquie, interrompues par le Traité de Lausanne, une grande réussite diplomatique pour les peuples de la Grande-Bretagne et de la Turquie; et sur le libellé du Traité :

L’Empire britannique, la France, l’Italie, le Japon, la Grèce, la Roumanie, l’État serbe-croate-slovène, d’une part, et la Turquie, d’autre part;

Animés du même désir de mettre fin définitivement à l’état de guerre qui, depuis 1914 a troublé l’Orient,

Soucieux de rétablir entre eux les relations d’amitié et de commerce nécessaires au bien-être commun de leurs nations respectives,

Et considérant que ces relations doivent être basées sur le respect de l’indépendance et de la souveraineté des États,

Ont décidé de conclure un traité à cet effet […]

e)Et sur l’article 59 du Traité de Lausanne, lequel fait état des actes de guerre de l’armée grecque en Anatolie (Turquie), qui sont contraires aux lois de la guerre :

La Grèce reconnaît son obligation de réparer les dommages causés en Anatolie par des actes de l’armée ou de l’administration helléniques contraires aux lois de la guerre. D’autre part, la Turquie, prenant en considération la situation financière de la Grèce telle qu’elle résulte de la prolongation de la guerre et de ses conséquences, renonce définitivement à toute réclamation contre le Gouvernement hellénique pour des réparations.

No 29. (six)

Par l’honorable sénateur Patterson :

Le 20 juin 2017—Qu’il attirera l’attention du Sénat sur l’état des prisonniers politiques au Tibet.

No 30. (six)

Par l’honorable sénateur Dawson :

Le 21 juin 2017—Qu’il attirera l’attention du Sénat sur le fait que les vingt-quatre divisions sénatoriales dans la province de Québec n’incluent pas la partie nord de la province et, par conséquent, la population de cette région, en particulier les Inuits, est privée de représentation au Sénat du Canada.


Questions écrites

No 50.

Par l’honorable sénateur Downe :

Le 11 avril 2017—En ce qui concerne Anciens Combattants Canada (ACC) :

Dans sa réponse à ma question écrite, déposée le 29 septembre 2016, le ministre des Anciens Combattants a indiqué que 19 des 61 postes de haute direction d’ACC ne sont pas situés à l’Administration centrale d’ACC, à Charlottetown (Île-du-Prince-Édouard). Cette réponse a mené à ma question inscrite au Feuilleton no 19, datée du 25 octobre 2016, dans laquelle je demandais des détails sur ces 19 hauts fonctionnaires, en particulier leur nom, le titre de leur poste, l’échelle salariale de leur poste ainsi que le nombre de jours, depuis leur nomination respective, où ils ont effectivement travaillé à Ottawa et le nombre de jours où ils ont travaillé à l’Administration centrale à Charlottetown (Île-du-Prince-Édouard). Dans la réponse à cette question, déposée le 5 avril 2016, j’ai reçu des renseignements au sujet de ces hauts fonctionnaires; toutefois, la réponse ne donnait aucun détail sur le sous-ministre Walt Natynczyk.

Par conséquent, en ce qui concerne Walt Natynczyk, sous-ministre à Anciens Combattants Canada :

1.Quelle est l’échelle salariale du poste qu’il occupe?

2.Veuillez fournir une liste détaillée des journées où il a effectivement travaillé à Ottawa et indiquer le nombre de jours où il a travaillé à l’Administration centrale d’ACC, à Charlottetown (Île-du-Prince-Édouard), depuis sa nomination.

No 53.

Par l’honorable sénatrice Pate :

Le 21 juin 2017—En ce qui concerne le projet de loi C-56 — Loi modifiant la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition et la Loi sur l’abolition de la libération anticipée des criminels :

Le lundi 19 juin, le projet de loi C-56, Loi modifiant la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition et la Loi sur l’abolition de la libération anticipée des criminels, a fait l’objet d’une première lecture dans l’autre Chambre. Ce texte législatif modifie la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition, notamment pour limiter à 21 jours l’isolement préventif.

En octobre 2011, Juan E. Méndez, alors rapporteur spécial  des Nations Unies sur la torture, a exhorté tous les pays à interdire l’isolement cellulaire, également appelé isolement préventif, observation médicale, plan de gestion, soins psychiatriques intensifs et autres euphémismes qui voient le jour. Il a indiqué à ce propos :

« L’isolement cellulaire indéterminé et prolongé au-delà de 15 jours devrait être absolument interdit […] Compte tenu de la souffrance mentale terrible et d’autres souffrances que peut causer l’isolement cellulaire, on peut considérer qu’il équivaut à de la torture, à des peines ou des traitements cruels, inhumains et dégradants […] » [traduction].

La commission d’enquête qui s’est penchée sur le décès par homicide d’Ashley Smith a recommandé de mettre fin à l’isolement cellulaire et de recourir à des transfèrements dans des établissements offrant des services de santé mentale conformément à l’article 29 de la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition. Dans sa lettre de mandat adressée à la ministre de la Justice, le premier ministre confie à Jody Wilson-Raybould la tâche d’appliquer les recommandations de la commission d’enquête.

L’isolement cellulaire ou préventif menace directement la sécurité des détenus en créant des problèmes de santé mentale invalidants ou en les aggravant. Cela vaut tout particulièrement pour les femmes autochtones. Beaucoup de personnes ont milité en faveur de l’interdiction de recourir à l’isolement préventif, peu importe le nom, dans le cas des détenues. Parmi ces personnes, mentionnons l’honorable Louise Arbour, l’Association canadienne des sociétés Elizabeth Fry, le Réseau d’action des femmes handicapées du Canada et l’Association des femmes autochtones du Canada.

Pourquoi le gouvernement du Canada choisit-il cette approche au lieu d’abolir le recours à cette peine cruelle et inhabituelle pour les femmes, en particulier les femmes autochtones et celles qui ont un trouble de santé mentale invalidant? De plus, est-ce que le gouvernement s’assurera du caractère judiciaire de la surveillance externe proposée?

No 54.

Par l’honorable sénatrice Pate :

Le 21 juin 2017—En ce qui concerne le principe de Jordan :

Jordan River Anderson était un enfant de la Première Nation des Cris de Norway House, au Manitoba, atteint dès la naissance d’une maladie rare qui était à l’origine de besoins médicaux complexes. Jordan est décédé à l’hôpital à l’âge de cinq ans sans avoir passé une seule journée à la maison. Pendant ce temps, la Province du Manitoba et le gouvernement fédéral débattaient pour savoir lequel devait assumer le coût de ses soins de santé.

Le gouvernement fédéral a adopté le principe de Jordan en vue de garantir à tous les enfants des Premières Nations l’accès aux mêmes soutiens et services que les autres enfants, peu importe où ils habitent.

En 2016, le gouvernement du Canada établissait le « principe de l’enfant d’abord » et s’engageait à consacrer jusqu’à 382,5 millions de dollars sur trois ans à combler les lacunes des programmes de santé, de services sociaux et d’éducation destinés aux enfants des Premières Nations.

Le gouvernement du Canada pourrait-il indiquer quelle part des 382,5 millions de dollars a été consacrée à la prestation à des enfants des Premières Nations de services et de soutiens dans les domaines de la santé, de l’aide sociale et de l’éducation?

En date du 5 juin 2017, l’information suivante était affichée sur le site Web d’Affaires autochtones et du Nord Canada :

« Au 31 mars 2017, plus de 4 900 demandes de produits ou de services de santé, sociaux et éducatifs pour les enfants des Premières Nations avaient été approuvées dans le cadre de l’initiative “L’enfant d’abord”, fondée sur le principe de Jordan. »

Le gouvernement du Canada pourrait-il indiquer le nombre des demandes que le Ministère a reçues entre la date de la mise en œuvre de l’initiative « L’enfant d’abord » et le 31 mars 2017?

L’engagement de 382,5 millions de dollars a été pris en fonction d’une définition énoncée publiquement du principe de Jordan que le Tribunal canadien des droits de la personne a rejetée en faveur d’une définition plus large.

Quelles dispositions Santé Canada a-t-il prises pour le cas où les besoins de services des enfants excèdent ce montant?

Quelle formation les employés de Santé Canada et d’Affaires autochtones et du Nord Canada qui sont responsables, en totalité ou en partie, de l’application du principe de Jordan, ont-ils reçue au sujet des décisions du Tribunal canadien des droits de la personne et de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones? Veuillez préciser les dates de la formation, sa durée et les détails quant à sa teneur.

La mise en œuvre par le Canada du principe de Jordan ou du programme des services à l’enfance des Premières Nations a-t-elle fait l’objet d’une évaluation depuis que le Tribunal canadien des droits de la personne a rendu sa décision en janvier 2016?

No 55.

Par l’honorable sénatrice Dyck :

Le 19 septembre 2017—1.Veuillez fournir des renseignements sur tous les grands projets d’approvisionnement en eau et de traitement des eaux usées financés au cours des 10 dernières années (de 2005-2006 à 2015-2016). Les renseignements suivants sont requis pour chaque projet :

le coût total du projet;

s’il s’agit d’un projet d’approvisionnement en eau ou d’un projet de traitement des eaux usées;

s’il s’agit d’un projet de construction de nouvelles installations, d’un projet d’agrandissement ou d’un projet de modernisation;

le nombre total d’habitations desservies initialement (et/ou actuellement) par le projet.

2.Veuillez fournir les détails budgétaires pour tous les programmes d’infrastructure confiés aux collectivités des Premières Nations au cours des 10 dernières années (de 2005-2006 à 2015-2016). Les détails suivants sont requis :

le montant total prévu au budget du programme;

le montant transféré pour appuyer des programmes obligatoires;

le montant réservé aux projets d’immobilisations majeurs;

le montant réservé aux projets d’immobilisations mineurs;

le montant réservé aux projets d’immobilisations mineurs qui est consacré au logement.

No 56.

Par l’honorable sénateur Boisvenu :

Le 3 octobre 2017—En ce qui concerne Justice Canada :

Le ministère de la Justice a annoncé en août 2017 le lancement de deux sondages demandant à la population ou à des participants sélectionnés de se prononcer sur le système de justice criminelle. Ces sondages ont été mis en ligne par la firme EKOS.

En ce qui concerne ces deux consultations en ligne de la firme EKOS :

1. Quel ministère ou quelle(s) entreprise(s) a ou ont élaboré chacun de ces deux sondages?

2. Combien ces deux sondages ont-ils coûté au gouvernement fédéral?

3. Combien de personnes ont participé à chacun de ces deux sondages?

4. Une limite précise de participants a-t-elle été fixée pour l’un ou l’autre de ces deux sondages avant la fermeture de la consultation?

5. Les contrats ont-ils été accordés après un ou des appels d’offres?

6. Combien d’entreprises ont participé à chacun des appels d’offres?

No 57.

Par l’honorable sénatrice McPhedran :

Le 4 octobre 2017—Le budget fédéral de 2017 contenait le tout premier énoncé relatif aux sexes, un important symbole de leadership. C’était là un premier pas positif vers le rétrécissement du fossé qui sépare les sexes et l’édification d’une économie inclusive et plus dynamique. Toutefois, il y a toujours lieu de se désoler de la réalité des femmes. En effet, Statistique Canada a révélé plus tôt cette année que les femmes ne gagnent encore que 74 cents pour chaque dollar que les hommes gagnent. De plus, elles forment 60 p. 100 des travailleurs rémunérés au salaire minimum et 67 p. 100 des travailleurs à temps partiel. En outre, les femmes consacrent 50 p. 100 plus de temps que les hommes à la prestation de soins non rémunérée. L’écart entre les sexes est énorme et bien ancré. La multiplication des possibilités économiques offertes aux femmes est un élément essentiel de la dimension démographique en cause pour notre avenir.

Sur la scène internationale, des recherches réalisées dans 50 pays montrent que les organismes de femmes féministes sont le moyen le plus efficace de développer de meilleures politiques publiques et d’améliorer la vie des femmes en vue de combattre la violence (https://malahtun.files.wordpress.com/2015/03/2012-htun-weldon-apsr.pdf). Pourtant, ils sont aussi généralement les organismes les plus mal financés du secteur sans but lucratif au Canada. Le Programme de promotion de la femme à Condition féminine Canada représente moins de 1/110e de 1 p. 100 du total des dépenses de programmes fédérales, ce qui équivaut à 1 $ environ par femme. Le gouvernement précédent a décimé les organismes canadiens de défense des droits des femmes au cours de la dernière décennie. Les rares organismes qui subsistent fonctionnent au mieux avec un financement modeste, et ce, même avec le financement fort heureux annoncé par la ministre Monsef.

Au cours de la dernière année, le présent gouvernement s’est montré très déterminé à faire progresser son programme féministe et à élaborer ses politiques au moyen d’une approche féministe. La budgétisation féministe est essentielle à la concrétisation des droits à l’égalité d’une manière qui se traduit par des changements positifs dans la vie des femmes et de leur famille : en d’autres mots, les « droits vécus ». La budgétisation sexospécifique n’est pas qu’un exercice technique; elle est un processus directement axé sur les droits vécus des femmes. L’adoption d’une approche féministe dans le contexte des politiques de budgétisation et des politiques fiscales fait en sorte que les organismes de femmes reçoivent les ressources suffisantes pour jouer le rôle important qui leur revient dans l’élaboration des politiques et qu’ils participent activement aux exercices de consultation.

Le présent gouvernement s’engagera-t-il à hausser le financement direct des organismes de femmes du Canada, notamment en augmentant l’enveloppe budgétaire du Programme de promotion de la femme à Condition féminine Canada, et à quel moment le présent gouvernement lèvera-t-il le voile sur la méthodologie sexospécifique et les résultats utilisés dans son processus budgétaire?

Qu’est-ce que ce gouvernement est prêt à faire pour fournir les ressources qui permettront aux organismes des droits des femmes de participer à l’élaboration de politiques, avec des ressources et des accès adéquats, afin de donner au gouvernement les conseils stratégiques dont il a besoin, au-delà de ceux des ministères?

No 58.

Par l’honorable sénateur Boisvenu :

Le 4 octobre 2017—En ce qui concerne le Service correctionnel du Canada :

Quel est le nombre annuel de délinquants actifs pendant la période de 2012-2017 dans chacun des groupes suivants :

femmes en détention sous responsabilité fédérale?

hommes autochtones en détention sous responsabilité fédérale?

femmes dans la collectivité?

hommes autochtones dans la collectivité?

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