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L’aquaculture au Canada — un océan de possibilités: Sénateur Manning et Sénatrice Hubley

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L’industrie canadienne de l’aquaculture a une valeur annuelle d’un milliard de dollars.

Elle crée de l’emploi, elle réduit le fardeau des stocks de poissons sauvages et a le potentiel de revitaliser les communautés rurales, côtières et éloignées.

Le soutien à la croissance responsable de l’industrie de l’aquaculture est la solution qui s’impose à toute personne préoccupée par le développement économique.

Le sénateur Fabian Manning et la sénatrice Elizabeth Hubley ont donné une entrevue à CBC au sujet du rapport sur l’aquaculture.

Le Comité sénatorial permanent des pêches et des océans a effectué une étude exhaustive sur l’aquaculture au Canada : Un océan de possibilités : L’aquaculture au Canada. Nous avons publié le rapport l’an dernier, mais nous le publions de nouveau dans l’espoir que le nouveau gouvernement l’examinera et donnera suite aux recommandations qu’il contient.

De toutes les recommandations formulées, la plus importante porte sur l’adoption d’une loi fédérale exhaustive sur l’aquaculture.

À l’heure actuelle, les opérateurs aquacoles qui désirent s’établir dans l’industrie doivent naviguer dans un amalgame déroutant de règlements fédéraux et provinciaux. Les règlements diffèrent d’une province à l’autre, et le processus à suivre pour obtenir les autorisations requises et ainsi démarrer une entreprise est compliqué.

L’instauration d’une loi fédérale sur l’aquaculture, conjointement avec l’adoption de d’autres stratégies recommandées par le comité, favoriserait les investissements, ce qui créerait des emplois et injecterait davantage d’argent dans l’économie.

Le comité appuie l’objectif visant à doubler la production aquacole canadienne dans les dix prochaines années, ce qui aurait un effet annuel positif sur le produit intérieur brut du pays d’une valeur d’environ 2,5 milliards de dollars.

La sénatrice Elizabeth Hubley (centre) et le sénateur Fabian Manning (droite) ont participé à une conférence sur l’aquaculture et la récolte froide à St. John’s, Terre-Neuve-et-Labrador.

Cette croissance, cependant, doit se faire de manière responsable.

C’est pourquoi nous appuyons la poursuite des recherches sur les effets de l’aquaculture surl’environnement – les recherches canadiennes dans ce domaine sont déjà reconnues internationalement pour leur qualité – ainsi que l’application rigoureuse des conditions liées aux permis d’opération.

Afin de préserver la confiance des Canadiens envers l’industrie, nous recommandons l’établissement d’une base de données centrale et accessible au public, permettant à quiconque de consulter les conditions associées aux permis d’aquaculture et de confirmer si elles sont respectées.

Le titre du rapport est évocateur : il y a un océan de possibilités pour le développement de l’aquaculture au Canada. À condition que le gouvernement soit prêt à agir.

Le sénateur Fabian Manning est président du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans. La sénatrice Elizabeth Hubley en est la vice-présidente.

Le rapport

LIRE le sommaire du rapport

LIRE le Volume 1 : Industrie aquacole et gouvernance au Canada

LIRE le Volume 2: Industrie aquacole et gouvernance en Norvège et en Écosse

LIRE le Volume 3 : Un océan de possibilités : L’aquaculture au Canada

L’industrie canadienne de l’aquaculture a une valeur annuelle d’un milliard de dollars.

Elle crée de l’emploi, elle réduit le fardeau des stocks de poissons sauvages et a le potentiel de revitaliser les communautés rurales, côtières et éloignées.

Le soutien à la croissance responsable de l’industrie de l’aquaculture est la solution qui s’impose à toute personne préoccupée par le développement économique.

Le sénateur Fabian Manning et la sénatrice Elizabeth Hubley ont donné une entrevue à CBC au sujet du rapport sur l’aquaculture.

Le Comité sénatorial permanent des pêches et des océans a effectué une étude exhaustive sur l’aquaculture au Canada : Un océan de possibilités : L’aquaculture au Canada. Nous avons publié le rapport l’an dernier, mais nous le publions de nouveau dans l’espoir que le nouveau gouvernement l’examinera et donnera suite aux recommandations qu’il contient.

De toutes les recommandations formulées, la plus importante porte sur l’adoption d’une loi fédérale exhaustive sur l’aquaculture.

À l’heure actuelle, les opérateurs aquacoles qui désirent s’établir dans l’industrie doivent naviguer dans un amalgame déroutant de règlements fédéraux et provinciaux. Les règlements diffèrent d’une province à l’autre, et le processus à suivre pour obtenir les autorisations requises et ainsi démarrer une entreprise est compliqué.

L’instauration d’une loi fédérale sur l’aquaculture, conjointement avec l’adoption de d’autres stratégies recommandées par le comité, favoriserait les investissements, ce qui créerait des emplois et injecterait davantage d’argent dans l’économie.

Le comité appuie l’objectif visant à doubler la production aquacole canadienne dans les dix prochaines années, ce qui aurait un effet annuel positif sur le produit intérieur brut du pays d’une valeur d’environ 2,5 milliards de dollars.

La sénatrice Elizabeth Hubley (centre) et le sénateur Fabian Manning (droite) ont participé à une conférence sur l’aquaculture et la récolte froide à St. John’s, Terre-Neuve-et-Labrador.

Cette croissance, cependant, doit se faire de manière responsable.

C’est pourquoi nous appuyons la poursuite des recherches sur les effets de l’aquaculture surl’environnement – les recherches canadiennes dans ce domaine sont déjà reconnues internationalement pour leur qualité – ainsi que l’application rigoureuse des conditions liées aux permis d’opération.

Afin de préserver la confiance des Canadiens envers l’industrie, nous recommandons l’établissement d’une base de données centrale et accessible au public, permettant à quiconque de consulter les conditions associées aux permis d’aquaculture et de confirmer si elles sont respectées.

Le titre du rapport est évocateur : il y a un océan de possibilités pour le développement de l’aquaculture au Canada. À condition que le gouvernement soit prêt à agir.

Le sénateur Fabian Manning est président du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans. La sénatrice Elizabeth Hubley en est la vice-présidente.

Le rapport

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LIRE le Volume 1 : Industrie aquacole et gouvernance au Canada

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