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Le plein-emploi dans une économie mondialisée: Sénatrice Bellemare

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Dans un monde libre et pacifique, les gens ont besoin d’un emploi bien rémunéré pour participer à la création de la richesse à l’échelle nationale.

Les gens devraient avoir la possibilité d’améliorer leur situation économique et de jouir de l’indépendance de dépenser leur argent comme bon leur semble.

Voilà pourquoi je soutiens que nous devrions amorcer une conversation nationale sur une politique de plein-emploi.

Le terme économique plein-emploi signifie que toute la main-d’œuvre est mise à profit de la façon la plus efficiente possible.

Il s’agit d’indépendance, de liberté et d’occasions économiques pour chacun de nous. C’est également une question de sécurité économique et de mobilité professionnelle et sociale, ainsi que d’inclusion sociale.

Pour les entreprises, le plein-emploi concerne aussi l’adaptation, la souplesse et la sécurité.

Pour les économistes, ce terme peut paraître démodé, mais à mon avis, il demeure très pertinent de nos jours.

D’ailleurs, l’économie est de plus en plus mondialisée et chaque pays doit s’adapter toujours plus rapidement aux changements économiques.

Comme Barack Obama l’a souligné avec éloquence lors de son passage à la Chambre des communes en juin dernier, la mondialisation et le libre-échange constituent des faits accomplis, et non des choix idéologiques.

Puisque ces principes sont bien enracinés, il est inutile de chercher à les combattre. Il vaut donc mieux de s’y adapter. L’atteinte du plein-emploi facilite une telle adaptation, car il contribue à démystifier le changement.

Par exemple, une stratégie de plein-emploi pourrait inclure des mesures plus actives qui visent le marché du travail, comme des programmes de formation, des ententes de partage du travail et des subventions salariales.

Cette stratégie devrait également comprendre un plan pour l’éducation et le perfectionnement des compétences afin de favoriser la mobilité ascendante et la croissance de la productivité. La collaboration entre les échelons provincial et fédéral est essentielle pour y arriver.

Ce n’est pas une mince tâche que de mettre en œuvre une stratégie de plein-emploi. Les entreprises et les représentants syndicaux doivent tenir compte de l’importance du plein-emploi dans leurs propres stratégies afin de garantir plus de souplesse et de sécurité. Ce dialogue social revêt une grande importance.

Pendant ce temps, le gouvernement doit s’engager à appliquer la politique du plein-emploi, avec autant de vigueur durant les périodes de récession et de faible croissance que durant les périodes de forte croissance.

Pour une stratégie de plein-emploi réussie, nous devons viser des taux d’emploi élevés pour tous les groupes et toutes les régions du pays. À lui seul, le taux de chômage n’est plus un indicateur suffisant.

La promotion du plein-emploi nécessite un changement d’attitude chez les décideurs et de culture chez les groupes d’intérêts dans la société.

Il s’agit d’une tâche ardue mais selon moi, le plein-emploi peut mener à une main-d’œuvre plus résiliente, à des entreprises plus productives et à une économie qui peut s’adapter à un monde qui évolue rapidement.

Il est temps d’entamer une conversation nationale sur le plein-emploi.

Dans un monde libre et pacifique, les gens ont besoin d’un emploi bien rémunéré pour participer à la création de la richesse à l’échelle nationale.

Les gens devraient avoir la possibilité d’améliorer leur situation économique et de jouir de l’indépendance de dépenser leur argent comme bon leur semble.

Voilà pourquoi je soutiens que nous devrions amorcer une conversation nationale sur une politique de plein-emploi.

Le terme économique plein-emploi signifie que toute la main-d’œuvre est mise à profit de la façon la plus efficiente possible.

Il s’agit d’indépendance, de liberté et d’occasions économiques pour chacun de nous. C’est également une question de sécurité économique et de mobilité professionnelle et sociale, ainsi que d’inclusion sociale.

Pour les entreprises, le plein-emploi concerne aussi l’adaptation, la souplesse et la sécurité.

Pour les économistes, ce terme peut paraître démodé, mais à mon avis, il demeure très pertinent de nos jours.

D’ailleurs, l’économie est de plus en plus mondialisée et chaque pays doit s’adapter toujours plus rapidement aux changements économiques.

Comme Barack Obama l’a souligné avec éloquence lors de son passage à la Chambre des communes en juin dernier, la mondialisation et le libre-échange constituent des faits accomplis, et non des choix idéologiques.

Puisque ces principes sont bien enracinés, il est inutile de chercher à les combattre. Il vaut donc mieux de s’y adapter. L’atteinte du plein-emploi facilite une telle adaptation, car il contribue à démystifier le changement.

Par exemple, une stratégie de plein-emploi pourrait inclure des mesures plus actives qui visent le marché du travail, comme des programmes de formation, des ententes de partage du travail et des subventions salariales.

Cette stratégie devrait également comprendre un plan pour l’éducation et le perfectionnement des compétences afin de favoriser la mobilité ascendante et la croissance de la productivité. La collaboration entre les échelons provincial et fédéral est essentielle pour y arriver.

Ce n’est pas une mince tâche que de mettre en œuvre une stratégie de plein-emploi. Les entreprises et les représentants syndicaux doivent tenir compte de l’importance du plein-emploi dans leurs propres stratégies afin de garantir plus de souplesse et de sécurité. Ce dialogue social revêt une grande importance.

Pendant ce temps, le gouvernement doit s’engager à appliquer la politique du plein-emploi, avec autant de vigueur durant les périodes de récession et de faible croissance que durant les périodes de forte croissance.

Pour une stratégie de plein-emploi réussie, nous devons viser des taux d’emploi élevés pour tous les groupes et toutes les régions du pays. À lui seul, le taux de chômage n’est plus un indicateur suffisant.

La promotion du plein-emploi nécessite un changement d’attitude chez les décideurs et de culture chez les groupes d’intérêts dans la société.

Il s’agit d’une tâche ardue mais selon moi, le plein-emploi peut mener à une main-d’œuvre plus résiliente, à des entreprises plus productives et à une économie qui peut s’adapter à un monde qui évolue rapidement.

Il est temps d’entamer une conversation nationale sur le plein-emploi.

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