Open Sky, un modèle de formation offert aux personnes qui vivent avec une déficience intellectuelle
Étiquettes
L’établissement de « Open Sky » à Sackville, au Nouveau-Brunswick, prouve que les possibilités sont illimitées pour les adultes qui vivent avec une déficience intellectuelle. On y offre un programme de formation novateur qui encadre et soutient des personnes capables de vivre de façon autonome. Le programme est immensément bénéfique pour les personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme, d’une déficience intellectuelle ou d’une maladie mentale.
Au cœur d’un magnifique milieu rural, on y offre une approche différente de celle adoptée par les programmes traditionnels de formation. En effet, certaines personnes réagissent mieux à ce genre d’environnement.
Le Canada a besoin d’un plus grand nombre de programmes comme celui-là, en particulier dans les petites communautés où il est souvent plus difficile, pour les personnes ayant une déficience intellectuelle et leur famille, d’avoir accès à des formations axée sur les compétences et à des services de soutien qui peuvent les aider à vivre de façon autonome ou à obtenir un emploi.
Open Skyétablie à Sackville, qui fournit un logement, le développement de compétences, une formation à l’emploi ainsi que des liens avec la communauté à des adultes qui vivent avec des déficiences intellectuelles ou sociales, comme les troubles du spectre autistique ou une maladie mentale, comme la dépression, l’anxiété et la schizophrénie.
Établi dans une ferme historique, Open Sky accueille trois participants à la fois lors de leur apprentissage de compétences de la vie courante et d’aptitudes à l’emploi. Le personnel et les bénévoles aident chaque résident à apprendre à cuisiner, à faire le ménage, à prendre soin de soi-même et à socialiser. Il s’agit d’un cas classique d’« apprentissage par la pratique » où les participants se partagent les responsabilités de la ferme.
En compagnie du maire adjoint de Sackville, Ron Aiken, nous avons récemment eu l’opportunité de visiter la coopérative et de voir de nos propres yeux le merveilleux travail qui est accompli pour donner à des adultes les outils dont ils ont besoin pour vivre de façon autonome.
Dans le cadre de notre travail auprès de personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme et de personnes qui offrent un logement abordable à des parents monoparentaux, nous avons constaté à quel point aider ces personnes vulnérables à répondre à leurs besoins fondamentaux peut avoir un impact positif. La qualité de vie de tous s’améliore lorsque ces personnes jouissent de la dignité que procure la capacité de vivre de façon automne et d’être outillées pour prendre leurs propres décisions.
Les responsables du programme Open Sky traitent leurs clients avec respect et de façon inclusive, tout en les aidant à devenir indépendants. Cela leur permet d’établir et d’atteindre leurs propres objectifs de vie, ainsi que de surmonter les difficultés que la vie réserve à chacun d’entre nous. En bout de ligne, l’objectif du programme est de permettre aux participants d’obtenir un emploi rémunéré et de subvenir à leurs besoins.
Nous encourageons de tout cœur les communautés à examiner Open Sky en tant qu’exemple potentiel à suivre pour le développement de leurs propres programmes. Au cours de notre visite, la directrice exécutive d’Open Sky, Margaret Tsuz-King, a indiqué la volonté de son organisation à présenter son modèle d’affaires à différentes communautés.
Bon nombre des programmes canadiens de vie communautaire et de vie autonome visent les clients des centres urbains. Cependant, Open Sky nous rappelle qu’il y a différentes approches pour différents contextes.
Cette visite nous a rappelé que les programmes universels n’existent pas, en particulier lorsqu’il s’agit d’aider des gens qui vivent avec des défis de comportement social, de développement ou de santé mentale.
Le sénateur Jim Munson représente l’Ontario. Il est président du Comité sénatorial permanent des droits de la personne et défend depuis longtemps les intérêts des personnes qui vivent avec des troubles du spectre de l’autisme.
La sénatrice Nancy Hartling représente le Nouveau-Brunswick et elle milite pour les enjeux sociaux ainsi que ceux auxquels font face les femmes. Elle a été membre fondatrice d’un complexe de logements à prix abordables pour les parents monoparentaux à Moncton, N-B.
Cet article est paru dans le numéro du Telegraph Journal, le 24 août, 2017 (en anglais seulement).
Avis aux lecteurs : L’honorable Jim Munson a pris sa retraite du Sénat du Canada en juillet 2021. Apprenez-en davantage sur son travail au Parlement.
L’établissement de « Open Sky » à Sackville, au Nouveau-Brunswick, prouve que les possibilités sont illimitées pour les adultes qui vivent avec une déficience intellectuelle. On y offre un programme de formation novateur qui encadre et soutient des personnes capables de vivre de façon autonome. Le programme est immensément bénéfique pour les personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme, d’une déficience intellectuelle ou d’une maladie mentale.
Au cœur d’un magnifique milieu rural, on y offre une approche différente de celle adoptée par les programmes traditionnels de formation. En effet, certaines personnes réagissent mieux à ce genre d’environnement.
Le Canada a besoin d’un plus grand nombre de programmes comme celui-là, en particulier dans les petites communautés où il est souvent plus difficile, pour les personnes ayant une déficience intellectuelle et leur famille, d’avoir accès à des formations axée sur les compétences et à des services de soutien qui peuvent les aider à vivre de façon autonome ou à obtenir un emploi.
Open Skyétablie à Sackville, qui fournit un logement, le développement de compétences, une formation à l’emploi ainsi que des liens avec la communauté à des adultes qui vivent avec des déficiences intellectuelles ou sociales, comme les troubles du spectre autistique ou une maladie mentale, comme la dépression, l’anxiété et la schizophrénie.
Établi dans une ferme historique, Open Sky accueille trois participants à la fois lors de leur apprentissage de compétences de la vie courante et d’aptitudes à l’emploi. Le personnel et les bénévoles aident chaque résident à apprendre à cuisiner, à faire le ménage, à prendre soin de soi-même et à socialiser. Il s’agit d’un cas classique d’« apprentissage par la pratique » où les participants se partagent les responsabilités de la ferme.
En compagnie du maire adjoint de Sackville, Ron Aiken, nous avons récemment eu l’opportunité de visiter la coopérative et de voir de nos propres yeux le merveilleux travail qui est accompli pour donner à des adultes les outils dont ils ont besoin pour vivre de façon autonome.
Dans le cadre de notre travail auprès de personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme et de personnes qui offrent un logement abordable à des parents monoparentaux, nous avons constaté à quel point aider ces personnes vulnérables à répondre à leurs besoins fondamentaux peut avoir un impact positif. La qualité de vie de tous s’améliore lorsque ces personnes jouissent de la dignité que procure la capacité de vivre de façon automne et d’être outillées pour prendre leurs propres décisions.
Les responsables du programme Open Sky traitent leurs clients avec respect et de façon inclusive, tout en les aidant à devenir indépendants. Cela leur permet d’établir et d’atteindre leurs propres objectifs de vie, ainsi que de surmonter les difficultés que la vie réserve à chacun d’entre nous. En bout de ligne, l’objectif du programme est de permettre aux participants d’obtenir un emploi rémunéré et de subvenir à leurs besoins.
Nous encourageons de tout cœur les communautés à examiner Open Sky en tant qu’exemple potentiel à suivre pour le développement de leurs propres programmes. Au cours de notre visite, la directrice exécutive d’Open Sky, Margaret Tsuz-King, a indiqué la volonté de son organisation à présenter son modèle d’affaires à différentes communautés.
Bon nombre des programmes canadiens de vie communautaire et de vie autonome visent les clients des centres urbains. Cependant, Open Sky nous rappelle qu’il y a différentes approches pour différents contextes.
Cette visite nous a rappelé que les programmes universels n’existent pas, en particulier lorsqu’il s’agit d’aider des gens qui vivent avec des défis de comportement social, de développement ou de santé mentale.
Le sénateur Jim Munson représente l’Ontario. Il est président du Comité sénatorial permanent des droits de la personne et défend depuis longtemps les intérêts des personnes qui vivent avec des troubles du spectre de l’autisme.
La sénatrice Nancy Hartling représente le Nouveau-Brunswick et elle milite pour les enjeux sociaux ainsi que ceux auxquels font face les femmes. Elle a été membre fondatrice d’un complexe de logements à prix abordables pour les parents monoparentaux à Moncton, N-B.
Cet article est paru dans le numéro du Telegraph Journal, le 24 août, 2017 (en anglais seulement).
Avis aux lecteurs : L’honorable Jim Munson a pris sa retraite du Sénat du Canada en juillet 2021. Apprenez-en davantage sur son travail au Parlement.