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Cinéma sous les étoiles au festival du film de Gimli

Les cinéphiles sont de retour sur les plages sablonneuses du lac Winnipeg à Gimli au Manitoba pour assister à des projections sous les étoiles et être captivés devant l’écran de 35 pieds de haut qui sort de l’eau.

Le 16e Festival du film de Gimli a commencé le 20 juillet dernier. Celui-ci rassemble des cinéphiles et des amants de la nature dans la petite communauté qui se situe à 100 km au nord de Winnipeg.

La sénatrice Janis Johnson a fondé le festival qui prend la forme d’une célébration des films islandais. Elle a contribué à façonner son évolution et à en faire le festival du film le plus couru de la province, un événement qui maintenant met aussi l’accent sur les métrages canadiens.

« Dans le cadre du millième anniversaire de la découverte de l’Amérique du Nord par les Vikings, nous voulions ajouter quelque chose de nouveau, » a déclaré la sénatrice Johnson, une passionnée du cinéma qui est fière de ses origines islandaises.

Un visionnement de film au festival.

« Le festival représente l’une des choses que j’ai voulu faire pour aider ma région parce que sur le plan économique, celui-ci amène la visite de milliers de personnes à chaque été. »

Toute la communauté a adopté le festival et fait de lui le plus grand festival en milieu rural au Canada. En effet, les habitants de Gimli composent environ la moitié du conseil d’administration ainsi que la petite armée de bénévoles du festival, et ce, sans parler de la générosité des commanditaires. Tous ces gens font partie intégrante du succès continu de l’événement.

L’édition de cette année comprend la série habituelle de films circumpolaires qui mettent en vedette le travail des pays les plus au nord de la planète ainsi qu’un certain nombre de films ukrainiens qui ont pour but de célébrer l’une des cultures les plus dynamiques du Manitoba.

Cette année, des films autochtones sont également présentés. Le Prix Alda, un don qui a été offert par la sénatrice Johnson et dont le nom tire son origine du mot islandais qui signifie ‘vague’ sera remis à la célèbre actrice indigène Tantoo Cardinal.

Le festival du film se déroule sur plusieurs sites mais le plus remarquable est certainement celui de la plage de Gimli où ont lieu des projections au coucher de soleil.

L’écran est littéralement installé dans l’eau. Les festivaliers apportent leurs chaises de parterre ou se creusent des sièges dans le sable alors que le soleil se couche sur la ville et que les étoiles se mettent à scintiller.

Mère nature a déjà produit des effets intéressants. La sénatrice Johnson se souvient de vents qui fouettaient l’eau du lac contre la base de l’écran lors de la projection d’un film nautique.

« C’est amusant et unique, » dit-elle.

Le festival peut aussi servir de tremplin aux aspirants cinéastes. Des subventions sont disponibles pour les jeunes qui ont des scripts gagnants et qui utilisent l’argent pour produire des courts-métrages qui seront projetés lors de la prochaine édition du festival.

« C’est un travail accompli avec amour, » a déclaré la sénatrice Johnson.

« La clé de notre réussite c’est la qualité de notre programmation. Ici à Gimli, vous pouvez voir les mêmes films qu’au Festival international du film de Toronto. »

Le festival se déroule du 20 au 24 juillet.

Cinéma sous les étoiles au festival du film de Gimli

Les cinéphiles sont de retour sur les plages sablonneuses du lac Winnipeg à Gimli au Manitoba pour assister à des projections sous les étoiles et être captivés devant l’écran de 35 pieds de haut qui sort de l’eau.

Le 16e Festival du film de Gimli a commencé le 20 juillet dernier. Celui-ci rassemble des cinéphiles et des amants de la nature dans la petite communauté qui se situe à 100 km au nord de Winnipeg.

La sénatrice Janis Johnson a fondé le festival qui prend la forme d’une célébration des films islandais. Elle a contribué à façonner son évolution et à en faire le festival du film le plus couru de la province, un événement qui maintenant met aussi l’accent sur les métrages canadiens.

« Dans le cadre du millième anniversaire de la découverte de l’Amérique du Nord par les Vikings, nous voulions ajouter quelque chose de nouveau, » a déclaré la sénatrice Johnson, une passionnée du cinéma qui est fière de ses origines islandaises.

Un visionnement de film au festival.

« Le festival représente l’une des choses que j’ai voulu faire pour aider ma région parce que sur le plan économique, celui-ci amène la visite de milliers de personnes à chaque été. »

Toute la communauté a adopté le festival et fait de lui le plus grand festival en milieu rural au Canada. En effet, les habitants de Gimli composent environ la moitié du conseil d’administration ainsi que la petite armée de bénévoles du festival, et ce, sans parler de la générosité des commanditaires. Tous ces gens font partie intégrante du succès continu de l’événement.

L’édition de cette année comprend la série habituelle de films circumpolaires qui mettent en vedette le travail des pays les plus au nord de la planète ainsi qu’un certain nombre de films ukrainiens qui ont pour but de célébrer l’une des cultures les plus dynamiques du Manitoba.

Cette année, des films autochtones sont également présentés. Le Prix Alda, un don qui a été offert par la sénatrice Johnson et dont le nom tire son origine du mot islandais qui signifie ‘vague’ sera remis à la célèbre actrice indigène Tantoo Cardinal.

Le festival du film se déroule sur plusieurs sites mais le plus remarquable est certainement celui de la plage de Gimli où ont lieu des projections au coucher de soleil.

L’écran est littéralement installé dans l’eau. Les festivaliers apportent leurs chaises de parterre ou se creusent des sièges dans le sable alors que le soleil se couche sur la ville et que les étoiles se mettent à scintiller.

Mère nature a déjà produit des effets intéressants. La sénatrice Johnson se souvient de vents qui fouettaient l’eau du lac contre la base de l’écran lors de la projection d’un film nautique.

« C’est amusant et unique, » dit-elle.

Le festival peut aussi servir de tremplin aux aspirants cinéastes. Des subventions sont disponibles pour les jeunes qui ont des scripts gagnants et qui utilisent l’argent pour produire des courts-métrages qui seront projetés lors de la prochaine édition du festival.

« C’est un travail accompli avec amour, » a déclaré la sénatrice Johnson.

« La clé de notre réussite c’est la qualité de notre programmation. Ici à Gimli, vous pouvez voir les mêmes films qu’au Festival international du film de Toronto. »

Le festival se déroule du 20 au 24 juillet.

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