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Hommage au premier page : le Sénat assermente ses précieux assistants

Quand on le croise dans la rue, Ali Boussi pourrait facilement passer pour un étudiant d’université calme et ordinaire.

Par contre, lorsqu’il fait son entrée au Sénat, impeccablement vêtu d’un costume noir immaculé, il incarne le noble agent de la démocratie canadienne.

Le 17 février, M. Boussi a prêté le serment de premier page du Sénat, prenant ainsi la tête d’une équipe diversifiée de 15 étudiants d’université enthousiastes, brillants et accomplis, placée sous la direction de l’huissier du bâton noir.

Originaire de Windsor, en Ontario, il en est à sa troisième année sur la Colline du Parlement, et personne n’en est plus étonné que lui.

« Le milieu politique m’a toujours intéressé, mais jamais je n’aurais pensé y travailler un jour », a déclaré M. Boussi à SenCAPlus, à la fin d’un quart de travail au Sénat.

« J’ai toujours voulu travailler sur la Colline. »

M. Boussi étudie en sciences biomédicales à l’Université d’Ottawa. Le Programme des pages lui a ouvert la voie d’un apprentissage politique et lui a permis d’apprendre de première main « ce qui se passe en coulisse. »

Ces observations recueillies en côtoyant les dirigeants qui façonnent l’avenir du Canada lui font envisager une carrière dans la fonction publique, où il pourra mettre à profit à la fois les talents qu’il démontre à l’université et ses acquis institutionnels.

M. Boussi a mentionné que les sénateurs s’intéressent aux jeunes adjoints qui les accueillent à leur arrivée dans la salle du Sénat et veillent à ce qu’ils disposent des documents et du soutien dont ils ont besoin pour travailler le plus efficacement possible.

De plus, quand les séances sont terminées, ils s’arrêtent souvent pour converser avec les pages. Les sénateurs et les pages qui viennent de régions éloignées d’Ottawa trouvent vite des points communs entre eux, que ce soit la nostalgie des prairies ou le regret de ne pas pouvoir entendre au loin le doux son de la corne de brume sur la côte.

« Ils ont vraiment à cœur le Programme des pages, » a poursuivi M. Boussi. « Nous entretenons de très bonnes relations avec les sénateurs. »

À l’extérieur de la Colline, la présence discrète des pages peut parfois se transformer en invisibilité complète une fois qu’ils ont troqué leur tenue à la James Bond pour des vêtements décontractés.

« Des sénateurs nous disent parfois : “Nous ne vous avons même pas reconnus!” quand ils nous voient déambuler sur la Colline, » indique M. Boussi.

À l’intérieur, toutefois, ils sont appréciés, complimentés et indispensables.
« C’est un travail qui me plaît vraiment, » affirme M. Boussi.

Renseignez-vous sur le Programme des pages.

 

Hommage au premier page : le Sénat assermente ses précieux assistants

Quand on le croise dans la rue, Ali Boussi pourrait facilement passer pour un étudiant d’université calme et ordinaire.

Par contre, lorsqu’il fait son entrée au Sénat, impeccablement vêtu d’un costume noir immaculé, il incarne le noble agent de la démocratie canadienne.

Le 17 février, M. Boussi a prêté le serment de premier page du Sénat, prenant ainsi la tête d’une équipe diversifiée de 15 étudiants d’université enthousiastes, brillants et accomplis, placée sous la direction de l’huissier du bâton noir.

Originaire de Windsor, en Ontario, il en est à sa troisième année sur la Colline du Parlement, et personne n’en est plus étonné que lui.

« Le milieu politique m’a toujours intéressé, mais jamais je n’aurais pensé y travailler un jour », a déclaré M. Boussi à SenCAPlus, à la fin d’un quart de travail au Sénat.

« J’ai toujours voulu travailler sur la Colline. »

M. Boussi étudie en sciences biomédicales à l’Université d’Ottawa. Le Programme des pages lui a ouvert la voie d’un apprentissage politique et lui a permis d’apprendre de première main « ce qui se passe en coulisse. »

Ces observations recueillies en côtoyant les dirigeants qui façonnent l’avenir du Canada lui font envisager une carrière dans la fonction publique, où il pourra mettre à profit à la fois les talents qu’il démontre à l’université et ses acquis institutionnels.

M. Boussi a mentionné que les sénateurs s’intéressent aux jeunes adjoints qui les accueillent à leur arrivée dans la salle du Sénat et veillent à ce qu’ils disposent des documents et du soutien dont ils ont besoin pour travailler le plus efficacement possible.

De plus, quand les séances sont terminées, ils s’arrêtent souvent pour converser avec les pages. Les sénateurs et les pages qui viennent de régions éloignées d’Ottawa trouvent vite des points communs entre eux, que ce soit la nostalgie des prairies ou le regret de ne pas pouvoir entendre au loin le doux son de la corne de brume sur la côte.

« Ils ont vraiment à cœur le Programme des pages, » a poursuivi M. Boussi. « Nous entretenons de très bonnes relations avec les sénateurs. »

À l’extérieur de la Colline, la présence discrète des pages peut parfois se transformer en invisibilité complète une fois qu’ils ont troqué leur tenue à la James Bond pour des vêtements décontractés.

« Des sénateurs nous disent parfois : “Nous ne vous avons même pas reconnus!” quand ils nous voient déambuler sur la Colline, » indique M. Boussi.

À l’intérieur, toutefois, ils sont appréciés, complimentés et indispensables.
« C’est un travail qui me plaît vraiment, » affirme M. Boussi.

Renseignez-vous sur le Programme des pages.

 

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