La sénatrice Johnson à Washington
Les relations internationales ne se limitent pas à des dîners d’État et à des cortèges de voitures noires; les relations d’amitié entre les gouvernements se tissent lors de rencontres et par le franc‑parler.
C’est pourquoi la sénatrice Janis Johnson s’est rendue à Washington la semaine dernière pour participer à une réunion du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis, établi depuis 57 ans, qui regroupe des politiciens chevronnés des deux pays et de l’ensemble du spectre politique.
« Il est essentiel de rencontrer les Américains en personne, » a-t-elle expliqué. « Il s’agit de notre relation la plus importante dans le monde. »
La sénatrice Johnson copréside la Section canadienne avec le député Wayne Easter. La délégation canadienne a rencontré des membres du Sénat américain et de la Chambre des représentants.
Les réunions du groupe se sont déroulées à huis clos afin que les politiciens puissent discuter ouvertement à propos de n’importe quels enjeux, même les plus controversés.
« Tout le monde est très à l’aise à discuter ensemble, » a ajouté la sénatrice Johnson, membre du groupe depuis 15 ans. « Nous sommes très ouverts. »
Des douzaines d’enjeux ont des répercussions sur les intérêts du Canada et des États‑Unis et exigent une approche concertée.
La décharge d’acier sur le marché nord‑américain, l’élimination de déchets radioactifs, le bois d’œuvre, les espèces envahissantes et la sécurité internationale ne sont que quelques‑uns des sujets qui figuraient à l’ordre du jour.
« Nous sommes allés au fond des choses, » a précisé la sénatrice. « Et c’est notre rôle. »
Par le passé, la Section canadienne du groupe a réussi à exprimer les préoccupations du Canada à propos du bois d’œuvre, du saumon du Pacifique, de l’encéphalopathie spongiforme bovine (communément appelée la maladie de la vache folle) et de la mise en œuvre de l’Initiative relative aux voyages dans l’hémisphère occidental.
Les sénateurs Wilfred Moore et Paul Massicotte — tous deux vice-présidents du groupe – et un certain nombre de députés faisaient également partie de la délégation canadienne.
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La sénatrice Johnson à Washington
Les relations internationales ne se limitent pas à des dîners d’État et à des cortèges de voitures noires; les relations d’amitié entre les gouvernements se tissent lors de rencontres et par le franc‑parler.
C’est pourquoi la sénatrice Janis Johnson s’est rendue à Washington la semaine dernière pour participer à une réunion du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis, établi depuis 57 ans, qui regroupe des politiciens chevronnés des deux pays et de l’ensemble du spectre politique.
« Il est essentiel de rencontrer les Américains en personne, » a-t-elle expliqué. « Il s’agit de notre relation la plus importante dans le monde. »
La sénatrice Johnson copréside la Section canadienne avec le député Wayne Easter. La délégation canadienne a rencontré des membres du Sénat américain et de la Chambre des représentants.
Les réunions du groupe se sont déroulées à huis clos afin que les politiciens puissent discuter ouvertement à propos de n’importe quels enjeux, même les plus controversés.
« Tout le monde est très à l’aise à discuter ensemble, » a ajouté la sénatrice Johnson, membre du groupe depuis 15 ans. « Nous sommes très ouverts. »
Des douzaines d’enjeux ont des répercussions sur les intérêts du Canada et des États‑Unis et exigent une approche concertée.
La décharge d’acier sur le marché nord‑américain, l’élimination de déchets radioactifs, le bois d’œuvre, les espèces envahissantes et la sécurité internationale ne sont que quelques‑uns des sujets qui figuraient à l’ordre du jour.
« Nous sommes allés au fond des choses, » a précisé la sénatrice. « Et c’est notre rôle. »
Par le passé, la Section canadienne du groupe a réussi à exprimer les préoccupations du Canada à propos du bois d’œuvre, du saumon du Pacifique, de l’encéphalopathie spongiforme bovine (communément appelée la maladie de la vache folle) et de la mise en œuvre de l’Initiative relative aux voyages dans l’hémisphère occidental.
Les sénateurs Wilfred Moore et Paul Massicotte — tous deux vice-présidents du groupe – et un certain nombre de députés faisaient également partie de la délégation canadienne.