Les droits de la personne sur la Colline
Le Sénat, champion des droits de la personne.
Le Comité sénatorial des droits de la personne donne voix aux moins fortunés au Parlement. Il scrute les obligations et le bilan du Canada en matière de droits de la personne et prend position sur les droits des femmes autochtones, les droits des personnes handicapées et l’intimidation. Ardent défenseur des droits de la personne, il incite constamment le gouvernement à honorer les valeurs et les engagements du Canada tout en traçant la voie pour un avenir meilleur.
Le 9 juin 2017, deux experts du Sénat en ce qui a trait aux droits de la personne, les sénateurs Marilou McPhedran et Grant Mitchell, ont animé un panel de discussion sur les droits de la personne au Canada avec une rétrospective sur les 150 dernières années, et un regard vers les 150 prochaines. L’événement a eu lieu dans le cadre de la conférence Réaliser les droits 2017, une assemblée qui s’est étalée sur trois jours et qui est organisée par le Centre de recherche et d'enseignement sur les droits de la personne de l’Université d’Ottawa.
« Les droits de la personne sont des créatures du droit, lui-même dicté par les pays, les provinces et les territoires. Quand on parle des droits de la personne, il faut donc nécessairement inclure ceux qui dictent le droit, » a dit la sénatrice McPhedran.
« C’est pourquoi nous avons rassemblé un panel de parlementaires afin de discuter de leur travail sur les droits de la personne et, à l’occasion du 150e anniversaire du Canada, à discuter de l’avenir du pays. Quelle place voulons-nous accorder aux droits de la personne dans nos lois et dans le quotidien de notre peuple ? »
Parmi les sujets abordés, mentionnons les droits liés à l’identité sexuelle, les droits des Autochtones ainsi que les droits des prisonniers et du concept de désincarcération.
Le sénateur Mitchell a fait état des énormes progrès accomplis depuis ses débuts dans la fonction publique en 1986, comme l’adoption de la Loi sur le mariage civil, qui a légalisé le mariage entre conjoints de même sexe au Canada.
« Voir une bonne cause réussir m’a donné beaucoup d’énergie dans mon travail. Ce fut un moment typiquement canadien, » a affirmé le sénateur Mitchell.
Le respect des droits de la personne n’est jamais chose garantie — des citoyens visionnaires et vigilants doivent constamment éclairer la voie. Cependant, dans cette lutte, les Canadiens peuvent compter sur le Sénat.
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Le Sénat, champion des droits de la personne.
Le Comité sénatorial des droits de la personne donne voix aux moins fortunés au Parlement. Il scrute les obligations et le bilan du Canada en matière de droits de la personne et prend position sur les droits des femmes autochtones, les droits des personnes handicapées et l’intimidation. Ardent défenseur des droits de la personne, il incite constamment le gouvernement à honorer les valeurs et les engagements du Canada tout en traçant la voie pour un avenir meilleur.
Le 9 juin 2017, deux experts du Sénat en ce qui a trait aux droits de la personne, les sénateurs Marilou McPhedran et Grant Mitchell, ont animé un panel de discussion sur les droits de la personne au Canada avec une rétrospective sur les 150 dernières années, et un regard vers les 150 prochaines. L’événement a eu lieu dans le cadre de la conférence Réaliser les droits 2017, une assemblée qui s’est étalée sur trois jours et qui est organisée par le Centre de recherche et d'enseignement sur les droits de la personne de l’Université d’Ottawa.
« Les droits de la personne sont des créatures du droit, lui-même dicté par les pays, les provinces et les territoires. Quand on parle des droits de la personne, il faut donc nécessairement inclure ceux qui dictent le droit, » a dit la sénatrice McPhedran.
« C’est pourquoi nous avons rassemblé un panel de parlementaires afin de discuter de leur travail sur les droits de la personne et, à l’occasion du 150e anniversaire du Canada, à discuter de l’avenir du pays. Quelle place voulons-nous accorder aux droits de la personne dans nos lois et dans le quotidien de notre peuple ? »
Parmi les sujets abordés, mentionnons les droits liés à l’identité sexuelle, les droits des Autochtones ainsi que les droits des prisonniers et du concept de désincarcération.
Le sénateur Mitchell a fait état des énormes progrès accomplis depuis ses débuts dans la fonction publique en 1986, comme l’adoption de la Loi sur le mariage civil, qui a légalisé le mariage entre conjoints de même sexe au Canada.
« Voir une bonne cause réussir m’a donné beaucoup d’énergie dans mon travail. Ce fut un moment typiquement canadien, » a affirmé le sénateur Mitchell.
Le respect des droits de la personne n’est jamais chose garantie — des citoyens visionnaires et vigilants doivent constamment éclairer la voie. Cependant, dans cette lutte, les Canadiens peuvent compter sur le Sénat.