Aller au contenu

Sirop d’érable et canneberges et les grandes répercussions de quelques petites villes sur la compétitivité mondiale du Canada

Les sénateurs Julie Miville-Dechêne, Ghislain Maltais, Terry Mercer, Diane Griffin et Robert Black visitent les champs de canneberges de Fruit d’Or, le plus grand producteur de canneberges biologiques du monde.

En comparant la technologie à grande échelle et ses souvenirs du temps où elle récoltait des canneberges sur la ferme de ses grands-parents à l’Île-du-Prince-Édouard, la présidente du comité, la sénatrice Diane Griffin, a dit à la blague : « Ça semble tellement plus facile que de les récolter à la main. »

Le sirop d’érable et les canneberges forment une bonne combinaison : les deux peuvent se trouver sur la table des Canadiens et les deux stimulent une économie essentielle pour le pays en général, et plus particulièrement celle de petites villes du Québec.

Le Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts a visité, en octobre 2018, les fermes, les champs et les usines de Laurierville et de Plessisville, au Québec, dans le cadre de son étude sur le secteur des aliments à valeur ajoutée du Canada. Les sénateurs ont constaté sur le terrain à quel point la culture et la transformation d’ingrédients locaux forgent une industrie locale solide et autonome dans ces communautés pittoresques. Ces aliments à valeur ajoutée aident à renforcer la réputation du Canada quant à la qualité de ses produits, et ce, partout dans le monde.

Le Canada est le deuxième plus important producteur mondial de canneberges. Le Québec est responsable de près du deux tiers de la production de canneberges du Canada, et Plessisville est au cœur de cette industrie lucrative. Les sénateurs ont constaté l’ampleur de l’industrie lorsqu’ils se sont rendus à l’un des plus grands champs de canneberges du Canada : le site du plus grand producteur de canneberges biologiques du monde, Fruit d’Or. De vastes étendues de canneberges rouge vif remontaient à la surface de la tourbière. Les champs grouillaient de travailleurs pataugeant dans des eaux remplies de fruits.

Au lieu d’exporter les cultures pour qu’elles soient transformées ailleurs, la Ville de Plessisville bénéficie directement de la transformation des canneberges en le faisant à l’endroit où elles poussent. Les sénateurs ont visité l’établissement de transformation de canneberges de la ville, où plus de 2,5 millions de livres de canneberges québécoises sont transformées chaque jour. L’établissement emploie plus de 360 travailleurs locaux. Les sénateurs ont appris que la transformation des canneberges ne permet pas seulement de produire les populaires canneberges séchées et le jus; l’usine produit aussi des suppléments de santé, des poudres et des purées. Une recherche continue, qui tire profit de la collaboration de Fruit d’Or et de l’Université Laval, aide à la croissance de l’industrie, notamment en cherchant des approches novatrices pour optimiser les propriétés antioxydantes du fruit.

Plessisville n’est pas seulement un leader mondial pour la production de canneberges, elle produit également l’un des produits les plus exportés du Canada : le sirop d’érable.

Les sénateurs ont visité le siège social de la coopérative Citadelle à Plessisville. La coopérative, importante exportatrice de sirop d’érable à l’échelle mondiale, représente environ 2 000 membres et emploie 200 travailleurs locaux. Il n’est donc pas surprenant que la communauté, tant d’un point de vue local que mondial, fut un thème émergeant lorsque les sénateurs ont rencontré les membres de la coopérative. Cette petite région du Québec génère des répercussions démesurées sur les secteurs agricoles et à valeur ajoutée du Canada. Les membres de la coopérative Citadelle, qui exporte 90 % de son sirop d’érable, sont parfaitement conscients de ce privilège et de cette responsabilité. 

Les producteurs de sirop d’érable ont dit que leur communauté et leurs valeurs sont interreliées. À titre de grands employeurs dans de petites communautés, dont les produits sont transportés à travers le monde, ils ont indiqué au comité qu’ils étaient engagés à maintenir un haut niveau d’intégrité et de service envers leurs employés et les autres membres.

« Cette industrie est un important moteur économique à l’échelle locale et nationale. C’est un plaisir d’observer que les producteurs et les transformateurs sont sérieux quant au maintien de leur compétitivité et de leurs normes élevées », a souligné le sénateur Maltais, vice-président du comité, en faisant référence aux observations du comité à Plessisville.

 

Les sénateurs constatent que la canneberge est particulièrement résistante au froid. Même baignant dans les champs couverts de glace et dans les tourbières presque congelées, les canneberges demeurent fraîches et tendres.

Les membres du Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts visitent une usine de sirop d’érable à Plessisville, au Québec, où le sirop est maintenu au frais dans d’énormes cuves réutilisables. La coopérative Citadelle exporte son sirop d’érable vers 45 pays, sur 5 continents.

Sirop d’érable et canneberges et les grandes répercussions de quelques petites villes sur la compétitivité mondiale du Canada

Les sénateurs Julie Miville-Dechêne, Ghislain Maltais, Terry Mercer, Diane Griffin et Robert Black visitent les champs de canneberges de Fruit d’Or, le plus grand producteur de canneberges biologiques du monde.

En comparant la technologie à grande échelle et ses souvenirs du temps où elle récoltait des canneberges sur la ferme de ses grands-parents à l’Île-du-Prince-Édouard, la présidente du comité, la sénatrice Diane Griffin, a dit à la blague : « Ça semble tellement plus facile que de les récolter à la main. »

Le sirop d’érable et les canneberges forment une bonne combinaison : les deux peuvent se trouver sur la table des Canadiens et les deux stimulent une économie essentielle pour le pays en général, et plus particulièrement celle de petites villes du Québec.

Le Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts a visité, en octobre 2018, les fermes, les champs et les usines de Laurierville et de Plessisville, au Québec, dans le cadre de son étude sur le secteur des aliments à valeur ajoutée du Canada. Les sénateurs ont constaté sur le terrain à quel point la culture et la transformation d’ingrédients locaux forgent une industrie locale solide et autonome dans ces communautés pittoresques. Ces aliments à valeur ajoutée aident à renforcer la réputation du Canada quant à la qualité de ses produits, et ce, partout dans le monde.

Le Canada est le deuxième plus important producteur mondial de canneberges. Le Québec est responsable de près du deux tiers de la production de canneberges du Canada, et Plessisville est au cœur de cette industrie lucrative. Les sénateurs ont constaté l’ampleur de l’industrie lorsqu’ils se sont rendus à l’un des plus grands champs de canneberges du Canada : le site du plus grand producteur de canneberges biologiques du monde, Fruit d’Or. De vastes étendues de canneberges rouge vif remontaient à la surface de la tourbière. Les champs grouillaient de travailleurs pataugeant dans des eaux remplies de fruits.

Au lieu d’exporter les cultures pour qu’elles soient transformées ailleurs, la Ville de Plessisville bénéficie directement de la transformation des canneberges en le faisant à l’endroit où elles poussent. Les sénateurs ont visité l’établissement de transformation de canneberges de la ville, où plus de 2,5 millions de livres de canneberges québécoises sont transformées chaque jour. L’établissement emploie plus de 360 travailleurs locaux. Les sénateurs ont appris que la transformation des canneberges ne permet pas seulement de produire les populaires canneberges séchées et le jus; l’usine produit aussi des suppléments de santé, des poudres et des purées. Une recherche continue, qui tire profit de la collaboration de Fruit d’Or et de l’Université Laval, aide à la croissance de l’industrie, notamment en cherchant des approches novatrices pour optimiser les propriétés antioxydantes du fruit.

Plessisville n’est pas seulement un leader mondial pour la production de canneberges, elle produit également l’un des produits les plus exportés du Canada : le sirop d’érable.

Les sénateurs ont visité le siège social de la coopérative Citadelle à Plessisville. La coopérative, importante exportatrice de sirop d’érable à l’échelle mondiale, représente environ 2 000 membres et emploie 200 travailleurs locaux. Il n’est donc pas surprenant que la communauté, tant d’un point de vue local que mondial, fut un thème émergeant lorsque les sénateurs ont rencontré les membres de la coopérative. Cette petite région du Québec génère des répercussions démesurées sur les secteurs agricoles et à valeur ajoutée du Canada. Les membres de la coopérative Citadelle, qui exporte 90 % de son sirop d’érable, sont parfaitement conscients de ce privilège et de cette responsabilité. 

Les producteurs de sirop d’érable ont dit que leur communauté et leurs valeurs sont interreliées. À titre de grands employeurs dans de petites communautés, dont les produits sont transportés à travers le monde, ils ont indiqué au comité qu’ils étaient engagés à maintenir un haut niveau d’intégrité et de service envers leurs employés et les autres membres.

« Cette industrie est un important moteur économique à l’échelle locale et nationale. C’est un plaisir d’observer que les producteurs et les transformateurs sont sérieux quant au maintien de leur compétitivité et de leurs normes élevées », a souligné le sénateur Maltais, vice-président du comité, en faisant référence aux observations du comité à Plessisville.

 

Les sénateurs constatent que la canneberge est particulièrement résistante au froid. Même baignant dans les champs couverts de glace et dans les tourbières presque congelées, les canneberges demeurent fraîches et tendres.

Les membres du Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts visitent une usine de sirop d’érable à Plessisville, au Québec, où le sirop est maintenu au frais dans d’énormes cuves réutilisables. La coopérative Citadelle exporte son sirop d’érable vers 45 pays, sur 5 continents.

Articles connexes

Étiquettes

Nouvelles des comités

Encore plus sur SenCA+

Haut de page