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Le son des cordes a retenti sur la Colline pour la Journée du violon

Le troisième samedi de chaque mois de mai marque la Journée nationale du violon traditionnel, une journée qui rend hommage au patrimoine musical canadien.

La sénatrice Elizabeth Hubley a parrainé le projet de loi sur la Journée nationale du violon traditionnel instituant cette journée en 2015 afin de souligner l’importance historique et contemporaine du violon traditionnel et de le faire découvrir à un vaste public.

« J’imaginais la Journée nationale du violon traditionnel comme une pleine journée de festivités pendant laquelle les violoneux montreraient leur talent, sèmeraient la gaieté et rendraient les gens heureux, » a expliqué la sénatrice Hubley.

« J’y vois aussi une occasion de savourer la vie dans notre beau pays grâce à la magie de la musique et à l’universalité de ce merveilleux instrument. »

Mercredi, la sénatrice – qui joue elle-même du violon traditionnel et danse des gigues – a été l’hôtesse des premières festivités sur la Colline.

« L’amour du violon traditionnel unit les Canadiens aux quatre coins du pays, » a-t-elle précisé.

« On trouve la musique de violon traditionnel un peu partout, des sous-sols d’église aux salles de la Légion, des maisons de soins infirmiers aux pubs locaux, et même ici, dans la cour intérieure de l’édifice de l’Est. »

Les airs de violon traditionnel retentissent partout au pays depuis les tout premiers temps. Arrivé avec les jésuites au XVIe siècle, le violon traditionnel a été introduit dans les communautés autochtones par les coureurs des bois. La musique traditionnelle s’est par la suite enrichie des mélodies des immigrants acadiens, celtes et européens de l’Est.

La sénatrice Hubley y voit d’ailleurs une métaphore de la société canadienne.

« Tout comme le Canada, elle accueille et incorpore divers styles et traditions, permettant à chacun de prospérer et de s’épanouir et donnant naissance à une sonorité entièrement nouvelle, » a ajouté la sénatrice Hubley.

L’Association canadienne des grands maîtres violoneux, une organisation nationale vouée à la préservation et à la promotion du violon traditionnel au Canada, prendra part aux festivités.

La Tribune du Public

 

«Je suis fière d’être originaire d’Antigonish en Nouvelle Écosse. Je suis très heureuse d’être ici aujourd’hui pour jouer du violon dans le cadre de la Journée nationale du violon traditionnel. C’est formidable de célébrer un instrument qui a unit tellement de personnes, de cultures, de génération en génération en plus ! Je suis ravie et très émue d’être ici aujourd’hui. »

Anna Ludlow, violoniste

«Je joue du violon depuis que j’ai 3 ans, et maintenant j’ai 7 ans, donc je joue depuis 4 ans. Ce que j’aime le plus c’est le son. Quand je serai plus grande, je veux devenir encore meilleure et j’aimerais aussi être capable de pouvoir danser en même temps. »

Poloma Amos, jeune violoniste

«Savez-vous quelle est la différence entre le violon et le violon traditionnel ? L’attitude ! Le violon traditionnel est l’instrument à cordes originel, et le seul à avoir survécu à la révolution industrielle. Je suis fier que le Canada soit le seul pays au monde à célébrer sa propre Journée nationale du violon traditionnel. »

Graham Sheppard, président, Association canadienne des Grands Maîtres violoneux, violoniste

Le son des cordes a retenti sur la Colline pour la Journée du violon

Le troisième samedi de chaque mois de mai marque la Journée nationale du violon traditionnel, une journée qui rend hommage au patrimoine musical canadien.

La sénatrice Elizabeth Hubley a parrainé le projet de loi sur la Journée nationale du violon traditionnel instituant cette journée en 2015 afin de souligner l’importance historique et contemporaine du violon traditionnel et de le faire découvrir à un vaste public.

« J’imaginais la Journée nationale du violon traditionnel comme une pleine journée de festivités pendant laquelle les violoneux montreraient leur talent, sèmeraient la gaieté et rendraient les gens heureux, » a expliqué la sénatrice Hubley.

« J’y vois aussi une occasion de savourer la vie dans notre beau pays grâce à la magie de la musique et à l’universalité de ce merveilleux instrument. »

Mercredi, la sénatrice – qui joue elle-même du violon traditionnel et danse des gigues – a été l’hôtesse des premières festivités sur la Colline.

« L’amour du violon traditionnel unit les Canadiens aux quatre coins du pays, » a-t-elle précisé.

« On trouve la musique de violon traditionnel un peu partout, des sous-sols d’église aux salles de la Légion, des maisons de soins infirmiers aux pubs locaux, et même ici, dans la cour intérieure de l’édifice de l’Est. »

Les airs de violon traditionnel retentissent partout au pays depuis les tout premiers temps. Arrivé avec les jésuites au XVIe siècle, le violon traditionnel a été introduit dans les communautés autochtones par les coureurs des bois. La musique traditionnelle s’est par la suite enrichie des mélodies des immigrants acadiens, celtes et européens de l’Est.

La sénatrice Hubley y voit d’ailleurs une métaphore de la société canadienne.

« Tout comme le Canada, elle accueille et incorpore divers styles et traditions, permettant à chacun de prospérer et de s’épanouir et donnant naissance à une sonorité entièrement nouvelle, » a ajouté la sénatrice Hubley.

L’Association canadienne des grands maîtres violoneux, une organisation nationale vouée à la préservation et à la promotion du violon traditionnel au Canada, prendra part aux festivités.

La Tribune du Public

 

«Je suis fière d’être originaire d’Antigonish en Nouvelle Écosse. Je suis très heureuse d’être ici aujourd’hui pour jouer du violon dans le cadre de la Journée nationale du violon traditionnel. C’est formidable de célébrer un instrument qui a unit tellement de personnes, de cultures, de génération en génération en plus ! Je suis ravie et très émue d’être ici aujourd’hui. »

Anna Ludlow, violoniste

«Je joue du violon depuis que j’ai 3 ans, et maintenant j’ai 7 ans, donc je joue depuis 4 ans. Ce que j’aime le plus c’est le son. Quand je serai plus grande, je veux devenir encore meilleure et j’aimerais aussi être capable de pouvoir danser en même temps. »

Poloma Amos, jeune violoniste

«Savez-vous quelle est la différence entre le violon et le violon traditionnel ? L’attitude ! Le violon traditionnel est l’instrument à cordes originel, et le seul à avoir survécu à la révolution industrielle. Je suis fier que le Canada soit le seul pays au monde à célébrer sa propre Journée nationale du violon traditionnel. »

Graham Sheppard, président, Association canadienne des Grands Maîtres violoneux, violoniste

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