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Points de vue – 4-6 avril 2017

Étiquettes

Des questions touchant la santé mentale, le soutien offert aux anciens combattants et la diversité au sein du Sénat font partie des faits saillants de la semaine dernière.

Opposition

Cette semaine, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, notre caucus sénatorial a posé au leader du gouvernement au Sénat, le sénateur Harder, des questions concernant le thème de cette année : « La dépression : Parlons-en ». C’est avec plaisir que je lui ai demandé ce que le gouvernement fédéral compte faire pour lutter contre la stigmatisation associée à la maladie mentale.

La sénatrice Yonah Martin a demandé au leader du gouvernement au Sénat de se renseigner sur les recherches que le gouvernement actuel a appuyé dans le domaine de la santé maternelle, plus particulièrement sur la prévention de la dépression et du suicide chez les nouvelles mères. Elle l’a aussi questionné sur les programmes communautaires qu’appuie le gouvernement fédéral afin d’aider les femmes enceintes et les nouvelles mères et promouvoir leur santé émotionnelle et leur bien‑être. Le sénateur Jean-Guy Dagenais a posé des questions au leader du gouvernement au Sénat concernant la mise en œuvre de la Norme nationale sur la santé et la sécurité psychologiques en milieu de travail au Canada, lancée par le gouvernement conservateur en 2013.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la dépression est la principale cause de maladie et d’invalidité dans le monde. Aujourd’hui, plus de 300 million de personnes vivent avec la dépression, soit une augmentation de plus de 18 % entre 2005 et 2015 (OMS, 2017).  En posant ces questions, notre caucus oblige le gouvernement à rendre des comptes sur l’élaboration de solutions pour réduire la stigmatisation et mettre à la disposition des Canadiens les ressources dont ils ont besoin.

J’aimerais profiter de l’occasion pour féliciter le sénateur Percy Mockler pour sa nomination à la présidence du Comité des finances. Le sénateur Mockler vient d’ailleurs tout juste de joindre la communauté Twitter. Je vous invite à suivre son compte : @SenMockler


Libéraux du Sénat

La semaine dernière, au cours de la période de questions au Sénat, nous avons eu l’occasion de poser des questions à l’honorable Kent Hehr, ministre des Anciens Combattants et ministre associé de la Défense nationale. C’est maintenant une tradition d’inviter un ministre de la Couronne à répondre à des questions au Sénat, et je suis heureux d’avoir pu poser une question au nom d’un homme de Bass River, en Nouvelle-Écosse.

Lorsque notre groupe est devenu un caucus sénatorial libéral indépendant, l’une des initiatives que nous avons présentées consistait à inviter les Canadiens à nous envoyer les questions qu’ils aimeraient voir posées directement à un représentant du gouvernement. « Votre période des questions » a été lancée en mars 2014 et, bien que nous ayons posé plusieurs questions au leader du gouvernement au Sénat (tant l’ancien que l’actuel), nous avons pu pour la première fois poser une question directement à un ministre.

La question de Stuart Mills était la suivante : « Pourquoi un vétéran, lorsqu’il est libéré pour des raisons médicales, doit-il constamment se battre avec Anciens Combattants Canada et le ministère des Anciens Combattants pour prouver que ses blessures ont bel et bien été subies au cours du service militaire ? »

Le Parlement doit représenter l’ensemble des Canadiens et non pas simplement un parti politique. Je suis impatient d’avoir l’occasion de faire entendre au Sénat la voix de plus de Canadiens sur les sujets qui leur tiennent à cœur.


Groupe des sénateurs indépendants

Le Groupe des sénateurs indépendants (GSI) a été formé dans le but de doter les débats parlementaires d’une meilleure structure. Les sénateurs du GSI ne sont pas dans l’obligation de partager une position commune concernant les enjeux législatifs. 

Cette semaine, notre contributeur du GSI est le sénateur René Cormier du Nouveau-Brunswick.

Au Sénat du Canada, les journées se suivent, mais ne se ressemblent pas. La Chambre haute se révèle être à chaque jour, un lieu unique et passionnant où la démocratie de notre pays s’exerce avec rigueur et engagement. Entre les débats en chambre, l’examen des projets de loi et les rencontres avec des citoyens, les enjeux du vivre ensemble sont au cœur de nos travaux. La défense des minorités et des régions, la citoyenneté, le respect de notre histoire et de nos symboles, l’égalité entre les hommes et les femmes, le respect des artistes et de leurs œuvres, tout cela m’habite constamment.

Le 15 novembre 2016, en entrant dans cette enceinte pour la première fois comme nouveau sénateur indépendant du Nouveau-Brunswick, je fus saisi d’une grande émotion en constatant la diversité des cultures qui s’y trouvent, reflet du caractère inclusif de notre pays.

«US », « NOUS », des mots qui résonnent avec force dans nos deux langues officielles et qui nécessitent, plus que jamais, de l’écoute, de l’ouverture et une très grande solidarité. Voilà le pari qui est le nôtre, sénatrices et sénateurs, et que nous avons le privilège de relever ensemble pour le mieux-être de tous les Canadiennes et Canadiens.

Des questions touchant la santé mentale, le soutien offert aux anciens combattants et la diversité au sein du Sénat font partie des faits saillants de la semaine dernière.

Opposition

Cette semaine, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, notre caucus sénatorial a posé au leader du gouvernement au Sénat, le sénateur Harder, des questions concernant le thème de cette année : « La dépression : Parlons-en ». C’est avec plaisir que je lui ai demandé ce que le gouvernement fédéral compte faire pour lutter contre la stigmatisation associée à la maladie mentale.

La sénatrice Yonah Martin a demandé au leader du gouvernement au Sénat de se renseigner sur les recherches que le gouvernement actuel a appuyé dans le domaine de la santé maternelle, plus particulièrement sur la prévention de la dépression et du suicide chez les nouvelles mères. Elle l’a aussi questionné sur les programmes communautaires qu’appuie le gouvernement fédéral afin d’aider les femmes enceintes et les nouvelles mères et promouvoir leur santé émotionnelle et leur bien‑être. Le sénateur Jean-Guy Dagenais a posé des questions au leader du gouvernement au Sénat concernant la mise en œuvre de la Norme nationale sur la santé et la sécurité psychologiques en milieu de travail au Canada, lancée par le gouvernement conservateur en 2013.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la dépression est la principale cause de maladie et d’invalidité dans le monde. Aujourd’hui, plus de 300 million de personnes vivent avec la dépression, soit une augmentation de plus de 18 % entre 2005 et 2015 (OMS, 2017).  En posant ces questions, notre caucus oblige le gouvernement à rendre des comptes sur l’élaboration de solutions pour réduire la stigmatisation et mettre à la disposition des Canadiens les ressources dont ils ont besoin.

J’aimerais profiter de l’occasion pour féliciter le sénateur Percy Mockler pour sa nomination à la présidence du Comité des finances. Le sénateur Mockler vient d’ailleurs tout juste de joindre la communauté Twitter. Je vous invite à suivre son compte : @SenMockler


Libéraux du Sénat

La semaine dernière, au cours de la période de questions au Sénat, nous avons eu l’occasion de poser des questions à l’honorable Kent Hehr, ministre des Anciens Combattants et ministre associé de la Défense nationale. C’est maintenant une tradition d’inviter un ministre de la Couronne à répondre à des questions au Sénat, et je suis heureux d’avoir pu poser une question au nom d’un homme de Bass River, en Nouvelle-Écosse.

Lorsque notre groupe est devenu un caucus sénatorial libéral indépendant, l’une des initiatives que nous avons présentées consistait à inviter les Canadiens à nous envoyer les questions qu’ils aimeraient voir posées directement à un représentant du gouvernement. « Votre période des questions » a été lancée en mars 2014 et, bien que nous ayons posé plusieurs questions au leader du gouvernement au Sénat (tant l’ancien que l’actuel), nous avons pu pour la première fois poser une question directement à un ministre.

La question de Stuart Mills était la suivante : « Pourquoi un vétéran, lorsqu’il est libéré pour des raisons médicales, doit-il constamment se battre avec Anciens Combattants Canada et le ministère des Anciens Combattants pour prouver que ses blessures ont bel et bien été subies au cours du service militaire ? »

Le Parlement doit représenter l’ensemble des Canadiens et non pas simplement un parti politique. Je suis impatient d’avoir l’occasion de faire entendre au Sénat la voix de plus de Canadiens sur les sujets qui leur tiennent à cœur.


Groupe des sénateurs indépendants

Le Groupe des sénateurs indépendants (GSI) a été formé dans le but de doter les débats parlementaires d’une meilleure structure. Les sénateurs du GSI ne sont pas dans l’obligation de partager une position commune concernant les enjeux législatifs. 

Cette semaine, notre contributeur du GSI est le sénateur René Cormier du Nouveau-Brunswick.

Au Sénat du Canada, les journées se suivent, mais ne se ressemblent pas. La Chambre haute se révèle être à chaque jour, un lieu unique et passionnant où la démocratie de notre pays s’exerce avec rigueur et engagement. Entre les débats en chambre, l’examen des projets de loi et les rencontres avec des citoyens, les enjeux du vivre ensemble sont au cœur de nos travaux. La défense des minorités et des régions, la citoyenneté, le respect de notre histoire et de nos symboles, l’égalité entre les hommes et les femmes, le respect des artistes et de leurs œuvres, tout cela m’habite constamment.

Le 15 novembre 2016, en entrant dans cette enceinte pour la première fois comme nouveau sénateur indépendant du Nouveau-Brunswick, je fus saisi d’une grande émotion en constatant la diversité des cultures qui s’y trouvent, reflet du caractère inclusif de notre pays.

«US », « NOUS », des mots qui résonnent avec force dans nos deux langues officielles et qui nécessitent, plus que jamais, de l’écoute, de l’ouverture et une très grande solidarité. Voilà le pari qui est le nôtre, sénatrices et sénateurs, et que nous avons le privilège de relever ensemble pour le mieux-être de tous les Canadiennes et Canadiens.

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