Aller au contenu

Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts : Bilan de session

La protection des moyens de subsistance des agriculteurs et des professionnels de la foresterie est au cœur du travail du Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts.

Au cours de cette session parlementaire, les travaux des sénateurs ont touché divers sujets, y compris les affaires internationales, l’économie et l’environnement.

L’étude du comité sur les façons de faciliter l’accès aux marchés internationaux pour le secteur agricole et agroalimentaire canadien – qui s’est étalée sur deux sessions parlementaires – s’est conclue par la publication du rapport L’accès au marché mondial : Donner le monde aux producteurs et transformateurs canadiens en mai 2017.

Dans le cadre de cette étude, les sénateurs se sont rendus en Chine, ainsi que dans l’Est et l’Ouest du Canada, et ils ont consulté près de 500 témoins et intervenants. Les 18 recommandations du rapport portent sur les initiatives qui doivent être mises en place afin que plus de produits canadiens soient disponibles sur les étagères, et ce, partout dans le monde. Pour ce faire, le comité estime que la « marque du Canada », qui bénéficie d’une renommée mondiale, est essentielle au positionnement des produits canadiens sur la scène internationale.

« L’accès aux marchés dépend de deux facteurs : la salubrité des aliments et la traçabilité des aliments. Les produits alimentaires canadiens, tels que le sirop d’érable du Québec et le bœuf de l’Alberta, bénéficient d’une renommée internationale. Afin de faire en sorte que ces produits trouvent leur place dans les assiettes loin de chez nous, en Chine par exemple, nous devons nous assurer de pouvoir offrir la qualité que les consommateurs s’attendent à recevoir. »

Sénateur Ghislain Maltais, président du comité

 

Les sénateurs ont aussi prêté une oreille attentive aux préoccupations des agriculteurs, en particulier celles qui portent sur l’impact de la hausse de la valeur des terres agricoles canadiennes sur le secteur agricole et l’approvisionnement alimentaire. La valeur des terres agricoles varie au Canada, et les sénateurs espèrent assurer la durabilité de l’agriculture au pays et la protection des terres agricoles pour les Canadiens. Des membres du comité se sont aussi rendus à Washington D.C. au printemps de 2017 pour discuter de l’acquisition des terres agricoles avec leurs homologues américains. Un rapport sur ce sujet est prévu d’ici la fin de 2017.

Le comité mène présentement une étude sur les effets des changements climatiques sur les secteurs agricole, agroalimentaire et forestier canadiens qui examinera des enjeux comme l’élévation du niveau de la mer et les changements dans les régimes météorologiques. L’étude portera aussi sur les efforts que déploie le Canada pour atteindre ses objectifs en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

« La tarification du carbone constitue un véritable problème pour les agriculteurs car elle risque de menacer leur capacité de soutenir la concurrence sur les marchés internationaux. Notre étude vise à trouver des solutions pour assurer une transition en douceur vers une économie à faibles émissions de carbone. »

Sénateur Terry Mercer, vice-président du comité

 

Le comité planifie également consulter les organisations internationales intéressées à l’agriculture et aux changements climatiques afin d’apporter une perspective mondiale à son étude et ainsi en apprendre davantage sur l’expérience acquise dans d’autres pays. À la reprise des travaux parlementaires à l’automne 2017, les sénateurs comptent poursuivre leur étude sur les changements climatiques avec des missions d’étude à Halifax et à Montréal.

M. Ron Bonnett (à gauche), président de la Fédération canadienne de l’agriculture, se joint aux sénateurs Ghislain Maltais, président du Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts, et Terry Mercer, vice-président du comité, lors du lancement, le 9 mai 2017, d’un rapport sur les façons de faciliter l’accès des agriculteurs canadiens aux marchés internationaux.

Lors d’une mission d’étude en Chine en novembre 2016, le comité a participé au salon d’exposition alimentaire international FHC China, à Shanghai, où les membres ont parlé avec des exposants canadiens.

Cet article fait partie d’une série qui consiste à informer les Canadiens des travaux qu’ont accomplis les membres des comités sénatoriaux au cours de la dernière session parlementaire.

Reconnus pour leur importante contribution dans l’élaboration des lois et des politiques publiques, les comités sont au centre des travaux du Sénat. Ils ont été surnommés « le cœur et l’âme du Sénat » par la sénatrice Muriel McQueen Fergusson, première femme à avoir présidé le Sénat.

Au cours des quatre dernières années seulement, les comités sénatoriaux ont entendu plus de 7 500 témoins, ils ont produit 531 rapports et ont contribué à améliorer plusieurs projets de loi.

Par leurs travaux, les sénateurs défendent les intérêts de leurs régions et font également entendre haut et fort la voix de groupes sous-représentés, comme les femmes, les Autochtones, les personnes handicapées et les minorités linguistiques et visibles.

Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts : Bilan de session

La protection des moyens de subsistance des agriculteurs et des professionnels de la foresterie est au cœur du travail du Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts.

Au cours de cette session parlementaire, les travaux des sénateurs ont touché divers sujets, y compris les affaires internationales, l’économie et l’environnement.

L’étude du comité sur les façons de faciliter l’accès aux marchés internationaux pour le secteur agricole et agroalimentaire canadien – qui s’est étalée sur deux sessions parlementaires – s’est conclue par la publication du rapport L’accès au marché mondial : Donner le monde aux producteurs et transformateurs canadiens en mai 2017.

Dans le cadre de cette étude, les sénateurs se sont rendus en Chine, ainsi que dans l’Est et l’Ouest du Canada, et ils ont consulté près de 500 témoins et intervenants. Les 18 recommandations du rapport portent sur les initiatives qui doivent être mises en place afin que plus de produits canadiens soient disponibles sur les étagères, et ce, partout dans le monde. Pour ce faire, le comité estime que la « marque du Canada », qui bénéficie d’une renommée mondiale, est essentielle au positionnement des produits canadiens sur la scène internationale.

« L’accès aux marchés dépend de deux facteurs : la salubrité des aliments et la traçabilité des aliments. Les produits alimentaires canadiens, tels que le sirop d’érable du Québec et le bœuf de l’Alberta, bénéficient d’une renommée internationale. Afin de faire en sorte que ces produits trouvent leur place dans les assiettes loin de chez nous, en Chine par exemple, nous devons nous assurer de pouvoir offrir la qualité que les consommateurs s’attendent à recevoir. »

Sénateur Ghislain Maltais, président du comité

 

Les sénateurs ont aussi prêté une oreille attentive aux préoccupations des agriculteurs, en particulier celles qui portent sur l’impact de la hausse de la valeur des terres agricoles canadiennes sur le secteur agricole et l’approvisionnement alimentaire. La valeur des terres agricoles varie au Canada, et les sénateurs espèrent assurer la durabilité de l’agriculture au pays et la protection des terres agricoles pour les Canadiens. Des membres du comité se sont aussi rendus à Washington D.C. au printemps de 2017 pour discuter de l’acquisition des terres agricoles avec leurs homologues américains. Un rapport sur ce sujet est prévu d’ici la fin de 2017.

Le comité mène présentement une étude sur les effets des changements climatiques sur les secteurs agricole, agroalimentaire et forestier canadiens qui examinera des enjeux comme l’élévation du niveau de la mer et les changements dans les régimes météorologiques. L’étude portera aussi sur les efforts que déploie le Canada pour atteindre ses objectifs en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

« La tarification du carbone constitue un véritable problème pour les agriculteurs car elle risque de menacer leur capacité de soutenir la concurrence sur les marchés internationaux. Notre étude vise à trouver des solutions pour assurer une transition en douceur vers une économie à faibles émissions de carbone. »

Sénateur Terry Mercer, vice-président du comité

 

Le comité planifie également consulter les organisations internationales intéressées à l’agriculture et aux changements climatiques afin d’apporter une perspective mondiale à son étude et ainsi en apprendre davantage sur l’expérience acquise dans d’autres pays. À la reprise des travaux parlementaires à l’automne 2017, les sénateurs comptent poursuivre leur étude sur les changements climatiques avec des missions d’étude à Halifax et à Montréal.

M. Ron Bonnett (à gauche), président de la Fédération canadienne de l’agriculture, se joint aux sénateurs Ghislain Maltais, président du Comité sénatorial de l’agriculture et des forêts, et Terry Mercer, vice-président du comité, lors du lancement, le 9 mai 2017, d’un rapport sur les façons de faciliter l’accès des agriculteurs canadiens aux marchés internationaux.

Lors d’une mission d’étude en Chine en novembre 2016, le comité a participé au salon d’exposition alimentaire international FHC China, à Shanghai, où les membres ont parlé avec des exposants canadiens.

Cet article fait partie d’une série qui consiste à informer les Canadiens des travaux qu’ont accomplis les membres des comités sénatoriaux au cours de la dernière session parlementaire.

Reconnus pour leur importante contribution dans l’élaboration des lois et des politiques publiques, les comités sont au centre des travaux du Sénat. Ils ont été surnommés « le cœur et l’âme du Sénat » par la sénatrice Muriel McQueen Fergusson, première femme à avoir présidé le Sénat.

Au cours des quatre dernières années seulement, les comités sénatoriaux ont entendu plus de 7 500 témoins, ils ont produit 531 rapports et ont contribué à améliorer plusieurs projets de loi.

Par leurs travaux, les sénateurs défendent les intérêts de leurs régions et font également entendre haut et fort la voix de groupes sous-représentés, comme les femmes, les Autochtones, les personnes handicapées et les minorités linguistiques et visibles.

Articles connexes

Étiquettes

Nouvelles des comités

Encore plus sur SenCA+

Haut de page